Cette année, la tradition des vœux de « bonne année et bonne santé » est marquée d’inquiétude, d’exaspération et aussi de colère. La pandémie n’en finit pas et aujourd’hui, la jeunesse est en première ligne. Notre président « de tous les Français » en profite pour s’acharner, dans sa volonté de
détruire toute solidarité, toute alternative.
Saurons-nous nous « démerder » pour faire gagner les idées d’égalité, de justice sociale, de solidarité, de partage des richesses auxquelles aspirent une large majorité de citoyen-ne-s ? L’occasion nous est donnée, lors des prochaines échéances électorales de peser pour, redonner l’espoir d’un réel changement de société, une société pour l’humain d’abord.
Nous avons autant besoin de résister que de rêver des Jours heureux
Nous avons besoin de défendre nos biens communs et d’agir pour que tout le monde puisse se nourrir, s’éduquer, se soigner, se cultiver selon ses besoins et sans aucune discrimination. Nous souhaitons nous inspirer du
programme des Jours heureux de la Résistance qui fut le socle de notre
société (1946 : vote de la Loi Croizat pour « la Sécurité sociale »), jusqu’à ce que des gouvernements successifs remettent en cause la protection sociale, les services publics, la nationalisation de l’énergie (gaz, électricité), des transports (SNCF, RATP), des banques et assurances...
L’espace politique et médiatique est, à dessein, trusté par les sujets préférés de la droite, de Macron et du RN : sécurité, immigration, terrorisme... Le feu social couve pourtant sous la cendre de ce climat idéologique.
Comme une immense majorité de Français, nous voulons des propositions sociales fortes pour les prochaines échéances électorales
Voici les propositions que portent Fabien Roussel, notre candidat à l’élection présidentielle, ainsi que nos camarades candidat-e-s aux élections législatives :
- avoir la jeunesse la mieux formée au monde, lui donner la liberté de
travailler et de vivre heureuse, de s’émanciper au travail, d’élever
des enfants.
- instaurer un grand plan d’investissement dans les services publics
- baisse de la TVA sur les produits de la vie courante
- contrôler l’utilisation des aides aux entreprises
- taxer les dividendes des actionnaires des plus grandes entreprises
- augmenter le SMIC de 250 euros brut soit 200 euros net
- rétablir l’impôt de solidarité sur la fortune.
Nous vous appelons à les soutenir en votant
pour nos candidat-e-s
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