le 10 June 2021
L’Indépendant, le 10 juin 2021
le 09 June 2021
L’Indépendant, le 9 juin 2021
le 09 June 2021
L’Indépendant, le 9 juin 2021
le 08 June 2021
L'avantage des échéances électorales est, parfois, de clarifier les choses. Et nous ne serions pas intervenus dans le débat électoral si l'un des prétendants à la direction de la région Occitanie n'avait annoncé son intention de transformer le Train Jaune en train touristique, ce qui est parfaitement son droit. A ceci près, et un candidat digne de ce nom est censé connaître les règles, que le Train Jaune est un TER comme les autres, qu'à ce titre il est partie intégrante d'une convention d'exploitation qui lie la région, autorité organisatrice du transport à la SNCF, opérateur ferroviaire. Cette convention signée pour huit ans dépasse largement la durée du mandat de la majorité actuelle et a servi de base à une coûteuse mais indispensable rénovation de la ligne qui va bientôt permettre de retrouver pour le haut canton une desserte ferroviaire, donc écologique et sûre, de qualité. Il s'agit donc là d'une logique de continuité territoriale et de respect du pacte républicain, notion qui devrait être chère à celles et ceux qui se réclament de la République.
Le Comité des Usagers de la ligne du Train Jaune n'a pas ménagé ses efforts pour obtenir de la Région, du Département et de l'État la revitalisation de cette ligne d'exception dont l'intérêt touristique n'échappe à personne. Dépassant largement les clivages politiques et n'ayant jamais demandé à aucun de ses membres la couleur de son bulletin de vote, il a su rassembler autour de l'idée simple mais fondamentale de service public la grande majorité des élus et habitants du haut canton pour défendre leur droit de profiter d'une desserte ferroviaire de qualité toute l’année.
Alors quelle que soit la future majorité régionale nous continuerons à nous battre pour refuser toute exploitation saisonnière de la ligne ou toute privatisation.
La région a beaucoup investi dans ce projet d'intérêt public, parce que c'est un projet d'avenir et d'intérêt collectif et aucune gesticulation électorale ne détournera les habitants de la montagne de leurs intérêts citoyens, notamment en matière de mobilité…
le 07 June 2021
Visioconférence et débat organisés par Médicament bien commun.
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Avec :
Dans le contexte de la pandémie, les pays industrialisés tendent à préconiser, au grand dam des multinationales, la suspension des brevets sur le vaccin anti-Covid19, dans l’objectif d’enrayer la circulation du virus. Les médias se sont largement emparés du sujet mais la question des droits de propriété industrielle appliqués aux médicaments reste incomprise, voire taboue dans le débat public.
Le brevet, originellement créé pour protéger les droits des inventeurs et créateurs, a été dévoyé par l’industrie. Dans le secteur pharmaceutique, il est accaparé par l’entreprise et présenté comme garant de ses investissements dans l’économie de la santé, au prétexte de favoriser les innovations thérapeutiques en réponse aux besoins non couverts des malades. Le brevet s’est transformé́, au fil des ans, en un actif financier, contrôlant le marché, favorisant l'accumulation du capital et confortant les industries pharmaceutiques dans leur position de monopole.
Pour analyser les impacts des brevets sur la recherche médicale, la protection sociale et les enjeux de son financement, l’accès aux soins des populations, et débattre des alternatives possibles à la situation actuelle de mainmise du secteur privé sur les médicaments et vaccins, nous vous invitons à cette visioconférence.
le 05 June 2021
L’Indépendant, le 5 juin 2021
le 04 June 2021
Lors de la visite de l’Inspecteur de l’Education Nationale de la circonscription Ribéral, à l’école de Toulouges le jeudi 25 mars, un membre de l’équipe enseignante s’est présenté à son supérieur hiérarchique. Devant plusieurs témoins, ce dernier a affirmé qu’il le reconnaissait puisqu’il était présent sur des photos prises lors d’un rassemblement devant la DSDEN à Perpignan, au cours duquel des dégradations auraient été commises ! Alors que l’enseignant faisait part de son étonnement et de son incompréhension, l’inspecteur de circonscription a surenchéri en indiquant que ces photos avaient circulé dans les bureaux de la DSDEN.
Le SNUipp-FSU 66 s’est adressé au directeur académique des services de l’Éducation Nationale. La réponse apportée est que de telles méthodes n’existeraient pas. Pourquoi ces propos sont-ils alors tenus à des enseignant.es, fonctionnaires d’Etat, par un inspecteur si ceux-ci sont faux ?
En tant que responsables du premier syndicat des écoles dans le département, comme au niveau national, nous avons donc demandé solennellement au préfet des Pyrénées-Orientales de faire toute la lumière sur cette affaire, avec copie de notre courrier au directeur académique des services de l’Education Nationale des P.O, à la rectrice de l’académie de Montpellier, au directeur départemental de la sécurité publique des P.O. Le ministère de l’Éducation Nationale a également été saisi par le secrétariat général du SNUipp-FSU. Dix jours plus tard, aucune réponse ! Le SNUipp-FSU 66 exige qu’une enquête interne soit réalisée.
Ces affirmations d’un cadre de notre hiérarchie révèlent que nous sommes face à des méthodes non seulement d’un autre temps mais qui tombent sous le coup de la loi. Il n’est pas acceptable que de tels procédés, qui s’apparentent à un fichage des personnels, soient en cours au sein de la DSDEN 66.
A l’heure de « l’École de la confiance », slogan de façade du ministre Blanquer, le SNUipp-FSU 66 exige que notre administration mette tout en œuvre pour que les personnels des Pyrénées-Orientales puissent retrouver cette confiance, la vraie.
le 04 June 2021
L’Indépendant, le 4 juin 2021
le 04 June 2021
L’Indépendant, le 4 juin 2021
le 03 June 2021
L’Indépendant, le 3 juin 2021