Commission santé et protection sociale du Parti communiste français

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8e arr. de Marseille. Sauvons le batobus

le 23 août 2014

A l'embarquadère du batobus
Pointe-Rouge
13008 - Marseille

Mardi 26 août à 17h

Signatures pétitions pour la sauvegarde du batobus avec apéro public.

Pays d'Aubagne. Un faux accident mais de vraies conditions

le 23 août 2014

Pays d'Aubagne. Un faux accident mais de vraies conditions

Avant sa mise en service le 1er septembre, le tramway a fait l’objet d’un exercice de secours pompiers.

7h45, hier matin sur la ligne de tramway. Soudain, sur l’avenue des Goums, entre les arrêts Ravel-Decroix et Martin-Luther-King, le chauffeur engage un freinage d’urgence. Un piéton vient de passer sous la rame, lancée à 35km/h…

Aussitôt, les secours sont alertés par une passante, l’ensemble du trafic sur la ligne est interrompu et l’alimentation électrique est coupée. Les sapeurs pompiers sont sur les lieux moins de dix minutes plus tard. La police municipale aussi et installe rapidement un périmètre de sécurité. Le piéton est heureusement un simple mannequin… Car il s’agissait là d’une simulation d’accident dans le cadre des essais du tramway, dont la mise en service est prévue dans une grosse semaine, le lundi 1er septembre.

Un exercice grandeur nature dans les conditions du réel, tellement bien réalisé que l’information a parcouru la ville et les réseaux sociaux hier matin. Sans savoir au départ que l’accident était un faux…

Une coordination qui ne doit pas dérailler

Évidemment tenu secret pour la grande majorité des intervenants, l’exercice -un premier du genre- avait été préparé en amont par le centre de secours d’Aubagne et les responsables des Autobus aubagnais (groupe Transdev), l’exploitant en charge du réseau.

« Le but est d’éprouver tout le système de ce nouveau moyen de transport pour maîtriser les situations dégradées », exprime Guillaume Aribaud, directeur des Autobus aubagnais, habitué jusque-là uniquement aux bus. « Le tram implique des contraintes techniques et réglementaires beaucoup plus poussés », insiste-t-il.

D’où l’impérieuse nécessité de prévenir en amont sur son fonctionnement. Aussi bien les futurs usagers, automobilistes et riverains que les divers acteurs chargés d’intervenir autour du tram. « Nous avons mis en place une grande campagne de sensibilisation et d’information », rappelle Élodie Hugues, responsable marketing et communication des Autobus aubagnais. « Et notamment les plus jeunes avec des interventions dans les écoles, collèges et lycées. »

Retour sur l’accident. Les médecins sapeurs pompiers s’affairent autour de la victime. L’équipe de sécurité du réseau, dirigée par Mathieu Molinier, s’active également. Le responsable du PCC (poste central de commandement) du tramway, Patrick Simonnot est là aussi. Un peu en retrait, Frédéric Maggiani, commandant du centre de secours, et Frédéric Schneider, chef de projet tram, observent et commentent. « Ce type d’exercice permet de se roder, fait valoir ce dernier. Chacun apprend à se connaître pour tendre vers la meilleure coordination. »

Tandis qu’enfin l’avant de la rame est sortie des rails grâce à un élévateur pour libérer la victime, le capitaine Jean-Jacques Poyard, adjoint au chef de la caserne des pompiers, analyse : « L’objectif est vraiment de créer une équipe de secours complémentaire, il est important que chacun s’accapare le vocabulaire de l’autre ».  Un premier débrief collectif à chaud suivra dans la rame. Avant que celle-ci ne redémarre. Dans moins de dix jours, le tramway transportera gratuitement ses premiers passagers du Charrel à la gare d’Aubagne.

Florent De Corbier (La Marseillaise, le 23 août 2014)

L’atelier citoyen tramway relancé ?

Victime collatéral de l’arrêt de la phase 2 du tramway (Pôle d’échanges-Paluds), l’atelier tramway pourrait être relancé. Créé en 2008 au tout début du projet, ce groupe de travail réunissait le triptyque élus, techniciens, citoyens pour œuvrer dans la concertation sur le nouveau moyen de transport, en passe d’être mis en service. En sommeil depuis que les nouvelles majorités municipale et communautaire ne décident de stopper la suite des travaux, l’atelier doit être réactivé. « On parlera de l’atelier Val’tram », indique Joseph Pittera, conseiller transports auprès de la Présidente de l’Agglo. Un nom en référence à l’issue de secours portée par la nouvelle majorité communautaire qui espère rediriger le tram sur la voie de Valdonne. « Cet atelier sera mis en place une fois que les études d’impact et de faisabilité seront connues, détaille l’ancien élu aubagnais. Il sera ouvert à toute la population, réunira toujours élus, techniciens et citoyens, et fonctionnera à l’échelle communautaire », précise-t-il encore.

Reste à savoir ce qui sera réellement mis en concertation. Ravi de pouvoir prendre part au débat, Maurice Marsiglia, un des citoyens les plus actifs de l’ancien atelier tram, reste toutefois prudent : « Si c’est pour entériner des décisions déjà prises par les élus, ce ne sera pas intéressant », se méfie celui qui préside l’Asdel (association se déplacer en liberté).  Le coeur -et souci majeur voire insoluble- du débat technique du Val’tram est le raccordement du tram vers la plateforme de l’ancienne voie de Valdonne. « Les premiers scénarios seront d’abord présentés aux Maires de l’Agglo d’ici à octobre. En fonction de ce qui est réalisable techniquement et financièrement, des choix seront présentés au public pour approfondir la concertation », conclut Joseph Pittera.

La Marseillaise, le 23 août 2014

Non à l'escalade sécuritaire et à l'impasse de la video-surveillance à Hellemmes !

le 23 août 2014

Non à l'escalade sécuritaire et à l'impasse de la video-surveillance à Hellemmes !

Après l'annonce de Frederic Marchand dans la Voix du Nord de la mise en place prochaine de la video-surveillance aux abords de la place Hentgès, voilà que Partenord Habitat annonce sa volonté de faire de même dans les halls de ses résidences bordant la place.

L'escalade sécuritaire autour de la question de la place Hentgès et des incivilités tombe dans l'impasse de la vidéo-surveillance.

L'article de la Voix du Nord le dit pourtant lui même, la mise en place de caméras n'a pas produit de résultats probants, déplaçant souvent le problème dans d'autres lieux.

Les communistes d'Hellemmes réclament depuis plusieurs années auprès du préfet et de l’État la réouverture permanente du commissariat au nom du principe de service public. Ce n'est pas à la commune de financer la prévention et la sécurité des biens et des personnes alors même que son budget global diminue chaque année du fait de l'austérité organisée par le gouvernement UMP puis PS/EELV.

 

Pour rappel, nos propositions sur cette question lors des dernières éléctions communales sur Hellemmes :

Assurer la sécurité des biens et des personnes, prévenir la délinquance

Assurer la sécurité des habitants est un devoir pour une commune. Malheureusement, c’est un fait acquis : les Hellemmoises et les Hellemmois se sentent de moins en moins en sécurité dans notre commune. Les causes en sont doubles. Il existe de réels problèmes sur notre territoire comme un peu partout d’ailleurs : cambriolages, voitures volées et incendiées, petits trafics, etc. Nous proposons de mettre en œuvre différents mesures qui fassent disparaître le sentiment d’insécurité des Hellemmois.

Réouverture du commissariat et augmentation des effectifs.

Nous exigeons la réouverture du commissariat d’Hellemmes avec des effectifs dignes d’une ville de près de 20 000 habitants et ouvert à des heures accessibles pour le public. Notre commune n’a pas à dépendre du commissariat central de Lille. Nous ne sommes pas un quartier de Lille.

Le travail des agents de la police municipale sera valorisé en nous assurant qu’ils sont assez nombreux, qu’ils disposent des moyens matériels nécessaires à leurs missions et en imposant un rythme irrégulier des tournées quotidiennes dans TOUS les quartiers (pas tous les jours à la même heure au même endroit).

Action de prévention.

Le sentiment d’insécurité se développe également à cause de petites choses répétitives et épuisantes (musique trop forte, courses de voitures, remarques acerbes, etc.) autant qu’à cause de réels actes de délinquance. Cette insécurité, trop souvent imputée aux seuls jeunes, doit être combattue à la racine.

C’est pourquoi l’ensemble des acteurs et des instances déjà existants seront sollicités, mobilisés et renforcés (Observatoire de la sécurité et de la délinquance ; Comité local de sécurité et de prévention de la délinquance, etc.) afin de réduire drastiquement ces actes dans notre ville.

Tout d’abord, nous développerons le dispositif de médiation (avec Citéo s’il est vraiment efficace, un autre s’il ne l’est pas) et mettrons les médiateurs en lien avec les polices municipale et nationale. Le but est de permettre une meilleure compréhension de toutes les dimensions d’une situation en amont afin de parvenir à éviter les problèmes ou les dérives. Nous organiserons donc régulièrement un point d’étape, un état des lieux de ce qui se passe afin d’avoir toujours un temps d’avance (ou en tout cas de tout faire pour). Et nous organiserons la rencontre, le dialogue entre les jeunes et les moins jeunes afin que le respect l’emporte et que le lien intergénérationnel se crée.

Ensuite, nous proposons un projet de réinsertion sociale par le travail pour les petits délinquants. Ce dernier pourra prendre la forme d’une structure associative qui fera réaliser à ces derniers des travaux d’intérêt général. Elle sera aussi chargée de leur accompagnement pour qu’ils puissent retrouver une place dans la société. Ce modèle existe déjà dans plusieurs pays comme le Danemark. Il a réussi à faire baisser de façon substantielle la petite délinquance.

 

« Les services publics sont producteurs de richesse ! »

le 23 août 2014

« Les services publics sont producteurs de richesse ! »
Au local d’Attac
29, Boulevard Longchamp
13001 - Marseille

Jeudi 11 septembre à 18h30

ATTAC Marseille, Solidaires 13, « Vivent les Services Publics » et la FSU13 vous invitent à une conférence-débat avec Jean-Marie Harribey, économiste, co-Président du Conseil scientifique d’Attac France.

Les fonctionnaires sont productifs. Ras-le-bol des âneries !

La propagande anti-impôt bat son plein : après les hors-d’œuvre des pigeons et des poussins l’an dernier, et des plumés depuis quelques semaines, voici le temps de l’idéologie pure, sans fard et sans masque : ras-le-bol fiscal, nous matraque-t-on vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il ne manquait plus que le shutdown américain pour faire éclore le nouveau concept de « fonctionnaires non essentiels » pour alimenter ici le poujadisme, là-bas le tea-partysme. Face à cette offensive qui vise à détricoter par tous les bouts le manteau collectif qui protège la société, tous les intellectuels dignes de ce nom devraient joindre leurs forces pour expliquer que les travailleurs dans les services non marchands sont productifs.

Cela fait maintenant une vingtaine d’années que je propose la démonstration suivante (aujourd’hui, foin de mégotages et d’entre-deux, je dis bien « démonstration »). Les travailleurs employés dans les services non marchands et qui fournissent éducation publique, santé publique, services municipaux, services dans les associations à but non lucratif, etc., produisent des choses utiles que l’on peut qualifier de valeurs d’usage. Mais ils produisent aussi de la valeur économique, qui est monétaire bien que non marchande, et qui n’est pas un prélèvement sur la production marchande.

Là commence la démonstration. Elle se situe strictement sur le plan de la logique. La part du non marchand par rapport au marchand dans la production totale augmente tendanciellement grosso modo depuis la Seconde Guerre mondiale. Raisonnons comme si la tendance se poursuivait jusqu’à faire tendre la proportion du non marchand vers 1, c’est-à-dire 100 %, et donc faire tendre celle du marchand vers 0. On démontre donc que l’idée même qu’une part déclinante puisse financer une part croissante est un non-sens.

Que faut-il en déduire ou comment raisonner correctement ? Lesdits prélèvements obligatoires sont effectués sur un PIB déjà augmenté du fruit de l’activité non marchande et non pas sur le seul produit marchand.

Il en résulte :

  1. Les travailleurs des services non marchands produisent par leur activité le revenu qui les rémunère. Les salaires de la fonction publique (État, collectivité territoriale, Sécurité sociale) ne sont pas prélevés sur les travailleurs de la sphère capitaliste. Et ce de la même façon que ces derniers produisent aussi les (maigres) salaires qu’ils reçoivent, qu’il ne faut pas voir comme un prélèvement sur les consommateurs, bien que les dépenses d’achats de consommation retournent dans les entreprises.
  2. Les impôts et cotisations sociales sont le prix collectif, socialisé, des services non marchands. Ils jouent le même rôle que les prix des marchandises achetées et payées individuellement. La différence est que, dans un cas, la validation de l’existence et du paiement collectif de services non marchands passe par une décision politique collective démocratique (il existe des besoins sociaux à satisfaire), et que, dans l’autre cas, la validation sociale passe par le marché (il existe des besoins solvables, bien que tous ne le soient pas).
  3. On doit se débarrasser de la formule ambiguë et donc fausse : « les impôts financent les dépenses publiques ». En effet, elle entretient la confusion entre financement et paiement. Le financement de la production est, par définition, en amont de celle-ci, le paiement est postérieur à celle-ci. La parallèle avec ce qu’il se passe dans le secteur marchand permet de le comprendre : les entreprises anticipant des débouchés investissent et embauchent en finançant cela grâce à leurs fonds propres ou à des emprunts, la vente validant ces anticipations par le biais du paiement par les acheteurs des marchandises. Les administrations publiques anticipant des besoins collectifs investissent et embauchent, et pour cela elles ont besoin d’avoir accès à un financement des investissements publics dont on verra les retombées s’étaler sur des années et des décennies, l’impôt venant en payer la correspondance chaque année. Si le gouvernement est élu démocratiquement, la décision de faire produire des services non marchands est concomitante de celle de prélever l’impôt. Mais cette concomitance ne doit pas obscurcir la différence conceptuelle et logique entre financement et paiement.
  4. Ce qu’ont très bien compris les idéologues au service de la marchandisation de toute l’économie, c’est que les ressources humaines et matérielles que la société décide de consacrer à la sphère non marchande ne sont plus disponibles pour aller augmenter la sphère où s’accumule le capital. Ainsi, les travailleurs des services non marchands ne sont pas productifs de plus-value pour le capital mais ils sont productifs de valeurs d’usage ainsi que de valeur pour la collectivité. CQFD. D’où les glapissements incessants des économistes libéraux après les dépenses publiques, les impôts, les « charges sociales », etc.
  5. Dit en termes les plus simples possibles, on n’a pas besoin de producteurs de bagnoles pour produire de l’éducation publique. Il suffit d’une décision consentie par la population et d’avoir la force de travail et les ressources matérielles disponibles.

Je conçois que tout ce qui précède suppose d’avoir mené une réflexion sur ce qu’est la richesse et sur ce qu’est la valeur. Pour ne pas lasser le lecteur, je ne vais pas redire cela aujourd’hui mais il pourra se reporter aux nombreux textes précédents qui donnent un aperçu de mon dernier livre sur La richesse, la valeur et l’inestimable, Fondements d’une critique socio-écologique de l’économie capitaliste (LLL, 2013), qui tente de faire le point sur cette question qui hante la pensée économique depuis ses origines, et sur laquelle l’impasse totale est faite dans l’enseignement, la recherche et même dans les cercles
qualifiés d’hétérodoxes.

Jean-Marie Harribey pour Alternatives Economiques (octobre 2013)

Appel des élus « Réforme territoriale : le peuple doit être consulté ! »

le 20 août 2014

Appel des élus « Réforme territoriale : le peuple doit être consulté ! »

 

 

RÉFORME TERRITORIALE :

LE PEUPLE DOIT ETRE CONSULTE !

 

 

UN APPEL de  Jean-Pierre BOSINO, sénateur-maire de Montataire, Pt de l’Association des Elus Communistes et Républicains de  l’Oise, Patrice CARVALHO, député-maire de Thourotte, Alain BLANCHARD, Vice-président du Conseil général de l’Oise, Thierry AURY, secrétaire du Comité régional de Picardie du PCF

 

 

Alors que le gouvernement veut expédier à la hâte, de manière caricaturale, sans consultation réelle des élus locaux et sans débat public sérieux, le dossier de la « réforme territoriale » dont les conséquences risquent d’être considérables pour les populations et les territoires, nous proposons à l’ensemble des élus de notre département et de notre région de cosigner avec nous cet appel et de le soumettre sous forme de motion au vote des assemblées élues des collectivités territoriales :

 

 

•  Considérant l'importance vitale des services publics locaux rendus aux habitants, reposant sur la démocratie locale, la proximité et l'autonomie financière des collectivités locales,

 

Considérant l'importance des partenariats entre communes, départements et régions pour répondre au mieux aux besoins des habitants et des territoires,

 

Considérant que la baisse envisagée de 11 milliards des dotations de l'Etat aux collectivités d’ici 2017, va faire reculer leurs investissements et affaiblir la qualité des services utiles aux habitants, 

 

Considérant que réduire notre pays à 12 Métropoles, 13 grandes Régions et à de vastes intercommunalités, inverse le mouvement de décentralisation engagé depuis les années 1980 et éloigne les citoyens des lieux de décisions.

 

Les soussignés :

 

  • refusent la « réforme territoriale » envisagée sur instruction de l'Europe ultralibérale et qui n'engendrera aucune économie, bridera l'initiative locale, affaiblira la démocratie de proximité, renforcera la concurrence territoriale, livrera les territoires aux marchés sur fond de privatisations des services publics.

  • refusent toute fusion autoritaire et décidée d’en-haut, sans débats ni consultation des populations concernées et se prononcent pour l’heure pour le maintien de la Région Picardie actuelle. refusent la réduction drastique dès 2016 des capacités d'intervention des départements et leur disparition fixée à 2020 et se prononcent pour le maintien des départements actuels.

  • refusent l'annonce dans cette loi d'un renforcement majeur des compétences dévolues à l'échelon intercommunal au détriment des communes, menaçant leur avenir.

  • refusent la baisse des dotations de l'Etat aux collectivités, désastreuse pour l'emploi et le développement économique, pour l'essor des communes et des territoires.

  • rappellent que la Constitution modifiée en 2003 par le Parlement, dispose dans l’article 1er sur les valeurs de la République, que "l’organisation de la République est décentralisée".

  • rappellent leur attachement au suffrage universel et à la représentation des citoyens par des élus de proximité issus de territoires identifiés, refusent le projet de disparition de 5000 élus locaux.

  • exigent un grand débat national, conclu par un référendum, portant sur une réforme territoriale répondant aux besoins des populations et des territoires, renforçant la démocratie locale et les services publics de proximité, déployant la coopération entre collectivités, assurant leur autonomie financière, construisant une nouvelle étape de la décentralisation.

20140820-OH-Senlis-Le personnel de l'hôpital craint pour son avenir

le 20 août 2014

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20140820-CP-Compiègne-Ce qui va changer à l'hôpital

le 20 août 2014

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20140819-CP-Beauvais-Encore la grève sur Beauvais-Paris [SNCF]

le 19 août 2014

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"Ca roule" n°37 - septembre 2014

le 17 août 2014

Au sommaire :

- Edito : Face à un pouvoir qui trahit ses engagements, rebâtir ensemble une alternative. 

- SNCF : la grève a payé. 

- Comment les agents de la RATP payent le prix des cadeaux de l’Etat au MEDEF. 

- Retour sur la notion de Service Public. 

- Interview d’Aziz BOUKRIF, technicien à M2E. 

- Interview de Fabrizio PIRAS, machiniste à BUS. 

- Interview de Laurence COHEN, conseillère régionale PCF et administratrice du STIF : "On n’aura pas de transports de qualité sans être attentifs aux conditions de travail des salariés de la RATP". 

- Comment les choix politiques du gouvernement sacrifient le service public. 

- "Client" ou "usager" ? 

- Comment faire autrement - Le PCF propose de nouvelles sources de financement, notamment l’augmentation du Versement Transport payé par les entreprises. 

- Fête de l’Humanité 2014 - Le programme musical et le programme du stand de la section communiste de la RATP.

 

20140814-LeP-Beauvais-Ligne TER Beauvais-Paris : les syndicats mettent en cause région et direction

le 14 août 2014

20140814-LeP-Beauvais-Ligne TER Beauvais-Paris : les syndicats mettent en cause région et direction