le 22 octobre 2021
L’Indépendant, le 22 octobre 2021
le 22 octobre 2021
L’Indépendant, le 22 octobre 2021
le 22 octobre 2021
le 22 octobre 2021
le 22 octobre 2021
le 21 octobre 2021
Dans le cadre de sa campagne « Investir dans le secteur du soin et du lien aux autres et revaloriser les métiers féminisés », la CGT lance une vaste consultation auprès de 14 professions du secteur du soin et du lien.
Syndiqué·es ou non, les professionnel·les concerné·es sont appelé·es à répondre à un questionnaire en ligne.
Avec un financement de l’Institut de recherches économique et social, une équipe de recherche animée par Rachel Silvera a établi une liste de métiers « applaudis pendant le confinement, oubliés depuis ».
Il s'agit des métiers suivants :
« Toutes ces professions ont en commun de s'occuper de nos vies. De la petite enfance jusqu'à la perte d'autonomie, on couvre tous les besoins vitaux. » commente Rachel Silvera, maîtresse de conférence à l'université Paris Nanterre, codirectrice du réseau MAGE, membre du collectif confédéral Femmes Mixité.
Le but de cette consultation est de connaître précisément le contenu du travail réalisé.
Elle commence par des questions sur le diplôme et l'expérience, demandant notamment aux répondant·es d'évaluer le temps nécessaire pour être opérationnel·le dans leur métier.
Des questions permettront aussi de cerner le degré d'autonomie et de responsabilité, mais aussi les contraintes dans le temps de travail et la pénibilité de chacune de ces 14 professions.
Les répondant·es sont ensuite invité·es à parler de leur rémunération et de leurs propositions pour revaloriser ces métiers.
Si ces emplois occupés majoritairement par des femmes sont dévalorisés, c'est parce qu'on considère qu'ils feraient appel à des compétences « naturelles » pour elles et non à de véritables qualifications. Mais, selon une maxime en vigueur au Canada que cite Rachel Silvera : « une gardienne d'enfants vaut bien un gardien de zoo ».
le 21 octobre 2021
Le 8 septembre, nous dénoncions ls dérives concernant le recueil illégal de données Covid-19 en classe pour les collégiens et les lycéens, sur le constat qu’on faisait lever la main aux élèves, ou en distribuant des dossiers personnels via les professeurs principaux.
Le 19 octobre, l’Assemblée nationale vient de voter en faveur d’un projet de loi qui autorise tout personnel habilité par les chefs d’établissement à avoir accès au statut virologique et vaccinal COVID des élèves.
La FCPE 66 dénonce cet amendement comme contraire au principe de confidentialité des données personnelles et médicales des élèves. Les multiples injonctions qui pèsent sur les personnels de l’Education nationale pour lutter contre la pandémie tous azimuts stigmatisent des élèves dans l’exercice de leur droit égalitaire à l’éducation.
Les données médicales et personnelles qui concernent la santé des élèves doivent rester seulement connues du corps médical (docteurs et infirmiers principalement).
Comme proposition alternative que nous formulons depuis la rentrée scolaire de septembre, la FCPE 66 préconise :
le 21 octobre 2021
L’Indépendant, le 21 octobre 2021
le 20 octobre 2021
L’Indépendant, le 20 octobre 2021