le 15 octobre 2021
Les organisations FSU 66, CGT Educ’action 66, SUD éducation 66-11 jugent nécessaire de poursuivre et d’amplifier la mobilisation pour :
10h. Manifestation AESH suivie d’une audience en préfecture avec le DASEN.
12h30. Pique-nique tiré du sac.
14h. AG des AESH dans les locaux SUD éducation-Solidaires - 4bis, avenue Marcelin à Perpignan.
le 15 octobre 2021
La situation des Mineurs non accompagnés (MNA), les enfants migrants arrivés en France sans être accompagnés d’un·e parent·e et se trouvant placés sous la responsabilité du Conseil départemental, en charge de l’Aide sociale à l’Enfance (ASE), est préoccupante.
Le 8 septembre, une manifestation a eu lieu en direction du Conseil départemental de l'Oise suite à la décision de rompre sa convention avec Equalis en charge jusqu’ici de l’hébergement et de l’accompagnement de ces jeunes, précipitant des dizaines de mineurs dans une situation encore plus précaire et difficile.
Une quarantaine de jeunes ont été transférés à Verderonne, un village de 400 habitant·e·s, isolé de tout, compliquant la possibilité de suivre études ou apprentissage. D’autres se retrouvent à six ou huit par chambre, dans des hôtels, à Beauvais ou Creil, sans accompagnement, avec des conditions difficiles notamment pour les lycéens.
La conseillère départementale (PCF) de Montataire Catherine Dailly a donc interpellé la Présidente du Conseil départemental de l'Oise lors de la session du 14 octobre, pointant que ces conditions indignes conduisaient ces jeunes à l’échec. L’élue a proposé des hébergements sur une ville comme Chantilly permettant une mobilité facile en train, que des crédits soient affectés pour aider à de bonnes conditions d’étude et qu’une aide soit apportée pour régulariser leur situation administrative et les accompagner avec humanité et bienveillance. Enfin elle a relayé la lettre des syndicats pointant de graves dysfonctionnements de l’ASE : 5 postes sur 11 non pourvus sur Compiègne avec des surcharges de travail voire de la souffrance des personnels...
Mise en difficulté par cette interpellation et ayant interdit l’accès au public, la Présidente LR a préféré l’invective et le déni, avant de concéder qu’elle allait se pencher sur le problème.
La mobilisation doit donc se poursuivre jusqu’à des résultats concrets.
le 13 octobre 2021
L’Indépendant, le 13 octobre 2021
le 10 octobre 2021
le 08 octobre 2021
L’Indépendant, le 8 octobre 2021
le 07 octobre 2021
La Région Occitanie est particulièrement engagée et volontariste pour les mobilités, pour le droit à la mobilité pour toutes et tous en région. Dans ce cadre, les liaisons ferroviaires sont au cœur du service public régional des mobilités, LiO.
Les élu-e-s du groupe communiste, républicain et citoyen soutiennent et agissent pour cette orientation structurante pour la région. Nous soutenons le « Plan rail » de 800 millions d’euros d’ici 2030 pour les infrastructures ferroviaires de desserte fine du territoire. La direction de Sncf Réseau annonce un besoin de 1 milliard 700 millions d’investissement sur cette période, la Région Occitanie agit pour sauvegarder et pérenniser le maillage ferroviaire. C’est aussi ce qui motive le financement de 50 postes supplémentaires à Sncf Réseau pour mettre en place une agence en Occitanie permettant de mettre en œuvre le Plan rail. C’est la seule Région à soutenir ainsi les infrastructures ferroviaires. Nous réitérons l’urgence que l’Etat prenne enfin ses responsabilités dans le dossier du financement des infrastructures ferroviaires en Occitanie.
Les élu-e-s du groupe CRC sont engagé-e-s et mobilisé-e-s pour toutes les circulations ferroviaires et cela demande de la présence humaine, en gare, dans les trains, à la police ferroviaire, dans les centres de maintenance et dans les postes d’aiguillage pour atteindre l’objectif de 100.000 voyageurs par jour.
Nous sommes pour une prolongation de la convention TER la plus longue possible avec Sncf Voyages sans mise en concurrence et ce avant le 1er janvier 2023, date de l’obligation légale de passer par des appels d’offres.
Nous soutenons les trains de nuit avec la perspective du retour enfin du Paris-Tarbes en décembre prochain, ainsi que la possibilité d’envisager le retour d’autres relations, notamment concernant les relations Massif central-Clermont-Ferrand-Paris.
Nous restons vigilants pour les liaisons de jour des Trains d’Equilibre du Territoire en Occitanie en particulier pour l’Aubrac.
Nous saluons les avancées pour les dossiers des deux LGV, Montpellier- Perpignan avec une première tranche jusqu’à Béziers et Toulouse-Bordeaux avec une première tranche jusqu’à Agen, deux infrastructures indispensables afin de développer le TER et le fret ferroviaire.
Concernant le fret ferroviaire, nous maintenons notre exigence d’une liaison ferroviaire pérenne entre le marché Saint Charles de Perpignan et le MIN de Rungis. L’Occitanie est traversée par plusieurs liaisons grande distance pour le fret, il faut qu’elles se développent encore en complémentarité avec le retour du wagon isolé.
L’État doit assumer ses responsabilités tant sur l’infrastructure que sur le fret et les liaisons grande distance. Le désengagement financier des gouvernants depuis une vingtaine d’année est insupportable !
le 07 octobre 2021
À partir du lundi 11 octobre, l'obligation du port du masque à l'école primaire sera levée pour les Pyrénées-Orientales, où le taux d'incidence se stabilise au-dessous du seuil de 50 pour 100.000 habitants. Le protocole sanitaire va donc passer pour notre département en niveau 1.
La FCPE 66 salue la fin du port du masque pour les enfants de primaire. C’est une bonne nouvelle pour l’épanouissement, le bien-être et les apprentissages des enfants, la lecture notamment. Cela va permettre davantage de sérénité, et de retrouver le confort nécessaire et la confiance en soi dans la prise de parole, pour tous les élèves du premier degré du pays catalan (parmi 68 départements au total).
La prudence reste cependant de mise, cette mesure ne doit pas nous conduire à baisser complètement la garde sur ce qui se passe dans les établissements scolaires : brassage des élèves dans des classes surchargées ; sens de circulation ; temps de restauration et périscolaires…
Où en est l’équipement en capteurs CO2 des salles de classe et l’attribution des aides de l’Etat aux collectivités locales ? La FCPE 66 s’interroge également sur la cohérence des protocoles sanitaires alors que la pandémie est toujours présente sur notre territoire, comme la diminution des fréquences de désinfection du niveau 2 au niveau 1 ou encore le brassage pendant le temps de restauration.
La FCPE 66 espère que cette mesure pourra être rapidement étendue aux collégiens et aux lycéens ; et réaffirme ses exigences pour l’école : embauche de personnels, campagnes de dépistage gratuites et massives, classes en effectifs réduits, présence des élèves en classe et non renvoyés à la maison, davantage de tutorat et de l’aide individualisée pour les élèves décrocheurs !
le 06 octobre 2021
L’augmentation continue de la facture d’électricité réduit toujours davantage le pouvoir d’achat des ménages :
Mais surtout, parce que cela ne sera pas suffisant, nous portons une proposition encore plus ambitieuse, et entièrement finançable grâce à une politique volontariste :
Et vous, combien allez-vous économiser ?Faites la simulation en cliquant ici ! |
En re-nationalisant EDF et ENGIE, en reprenant en main la production d’énergie, c’est le retour d'une filière de production publique, sans profits pour des actionnaires, intégralement développée pour l’intérêt général.
Avec à la clé, une baisse de 50% des factures d’énergie !
Limitons nos émissions de CO2 en continuant à développer les énergies décarbonées (nucléaire et hydraulique).
Elles sont contrôlables, sûres, pourvoyeuses d'emplois et surtout très efficaces !
le 06 octobre 2021
L’Indépendant, le 6 octobre 2021
le 05 octobre 2021