Commission santé et protection sociale du Parti communiste français

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20140731-LeP-Oise-22 nouveaux trains franciliens commandés

le 31 juillet 2014

20140731-LeP-Oise-22 nouveaux trains franciliens commandés

Les services publics sont eux aussi attaqués en Vienne

le 30 juillet 2014

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Alors que des menaces pèsent sur le devenir des entreprises de l’automobile du département (Fédéral Mogul : 241 salariés), dans l’aménagement de wagons (CEIT 110 emplois), que des inquiétudes se font jour à Magneti Marelli – chez Valeo – aux Fonderies du Poitou… menaçant des milliers d’emplois dans la Vienne, on pourrait penser que les Services Publics « tirent leur épingle du jeu ».

Or, nous constatons depuis de nombreuses années que les politiques menées au regard des Services Publics dans leurs diversités de situations poursuivent ces mêmes objectifs :

 

  • Faire baisser les coûts des services supportés par les entreprises ; énergie – transport – téléphone…
  • Restituer à l’investissement privé des activités en toute ou partie, devenues rentables du point de vue financier.

A terme, ces objectifs et la méthode employée ont des incidences directes sur les emplois et sur les services rendus aux usagers.

Quelques exemples :

Mairie de Poitiers : dans le cadre du nouveau mandat municipal, plusieurs centaines d'emplois seraient sur la sellette, déjà 5 suppressions aux espaces verts menaçant les activités du Bois de Saint Pierre.

La Poste : fermetures des bureaux de poste de proximité et des boîtes à lettres – redéploiement avec fermeture comme au centre de distribution de Chasseneuil du Poitou (50 salariés).

Les Hôpitaux : Fusion/redéploiement au « goutte à goutte » Loudun/Châtellerault – Lusignan /CHU… menace de fermeture du centre de lutte contre la mucoviscidose du CHU…

Finances Publiques : après les redéploiements/fusions/fermetures de services et une casse de l’emploi, c’est le contrôle des entreprises qui se trouve supplanté par la distribution des 2 milliards issus du CICE en direction des entreprises, sans aucun contrôle…

Si les usagers font les frais de cette atomisation, les personnels sont en première ligne, report de congés, non remplacements de départs en retraite, en congés maladie – maternité - développement de la précarité : CDD, contrats aidés, intérim…

La C.G.T. s’inscrit dans la reconstruction du lien de cohésion sociale et de réponses aux besoins sociaux. Le Service Public participe à la nécessité de soustraire les activités qu’il développe à la marchandisation des processus économiques et sociaux.

Le sort des Services Publics est un bien commun qu’il faut défendre, moderniser, pérenniser afin de répondre aux besoins légitimes des populations. Ensemble, il nous faut porter haut et fort l’exigence d’arrêt de la casse des Services Publics. La C.G.T., avec ses syndicats, s’y emploie sans relâche ; elle invite les usagers à venir la rejoindre dans ce combat...

Poitiers le 29 juillet 2014

20140730-LeP-Beauvais-Mouvement social : les syndicats demandent une réunion tripartite [ligne SNCF Paris-Beauvais]

le 30 juillet 2014

20140730-LeP-Beauvais-Mouvement social : les syndicats demandent une réunion tripartite [ligne SNCF Paris-Beauvais]

20140730-CP-Beauvais-Le trafic reste perturbé sur la ligne SNCF Beauvais-Paris

le 30 juillet 2014

20140730-CP-Beauvais-Le trafic reste perturbé sur la ligne SNCF Beauvais-Paris

20140729-CP-Beauvais-La grève se poursuit sur Paris-Beauvais [SNCF]

le 29 juillet 2014

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20140726-LeP-Beauvais-Mouvement social : des usagers de la ligne TER écrivent au préfet

le 28 juillet 2014

20140726-LeP-Beauvais-Mouvement social : des usagers de la ligne TER écrivent au préfet

La Pérennisation des batobus Pointe Rouge/Vieux Port/L'Estaque

le 25 juillet 2014

La Pérennisation des batobus Pointe Rouge/Vieux Port/L'Estaque

NOUS L’AVONS VOULU,

NOUS L’AVONS GAGNÉ,

NOUS VOULONS SA PÉRENNISATION !

Dans la ville phocéenne il est de notoriété publique qu’en matière de transports, les politiques publiques n’ont jamais été à la hauteur. Si bien que nous voilà, une fois de plus avec le « bonnet d’âne » sur le toit de Marseille et un retard considérable préjudiciable aux marseillais et marseillaises sur tous les moyens de déplacements collectifs.

Il a fallu des années pour avoir 2 lignes de Métro… Deux fois plus pour le Tramway… les BUS sont inadaptés au centre-ville et à certains quartiers aux rues étroites et aux stationnements anarchiques… Toujours de gros manques et retards en matière d’accessibilités pour les personnes à mobilités réduites ou pour d’autres handicaps.

Et sur un autre aspect c’est carrément une génération qu’il nous a fallu pour enfin penser concret sur la requalification du Jarret et la matérialisation de la L2 !... (à suivre…)

C’est plus d’une dizaine d’années que le « Groupe Communiste – Républicain et Citoyen » de la Communauté Urbaine Marseille-Provence-Métropole a mis pour faire admettre qu’il fallait se servir de Navettes Maritimes (appelées « Batobus ») pour ouvrir les possibles sur un autre moyen de transport collectif en se servant de la façade méditerranéenne…

Et depuis 3 ans, nous avons gagné, pendant 6 mois de l’année, une rotation de « Batobus » sur la « Ligne » Pointe Rouge/Vieux Port. De même, l’année dernière nous avons obtenu, le même aller/retour sur L’Estaque/Vieux Port. On nous avait dit, avec beaucoup de prudence, « ce n’est qu’un essai, c’est à titre expérimental ».

Au bout de 3 ans, nous pouvons considérer qu’on a la possibilité de ranger les « tubes à essai » et envisager, sérieusement, la pérennisation de nos Navette Maritimes, qui ont été intégrées dans la RTM et sont donc officiellement un Service Public à part entière.

Nous sommes heureux de pouvoir accueillir toutes les années de nombreux touristes sur ces bateaux. Ils ont ainsi, la possibilité de découvrir Marseille « côté face » et apprécier le littoral de la deuxième ville de France.

Mais nos Batobus ne doivent pas être considérés comme des bateaux au seul « label touristique », c’est avant tout un transport collectif au service de la population marseillaise du Nord et du Sud qui utilisent régulièrement ce moyen de déplacement ludique et écologique comme pour leurs trajets professionnels ou personnels, comme ils utilisent les BUS en période où les Batobus étaient, jusqu’à présent, à l’arrêt.

Il n’y a pas de tergiversations, ni de faux prétextes à avoir, encore moins d’excuses financières, les Batobus sont reconnus comme d’utilité publique pour la population marseillaise, les Batobus sont notre bien commun.

Les Elus-es Front de Gauche de Marseille sont à l’offensive et demandent :

 Au délà de la pérennisation des navettes maritimes, une continuité territoriale avec des navettes de « mini bus » rayonnant sur les quartiers à proximité des débarcadères (à l’Estaque comme à la Pointe Rouge) afin de faciliter les déplacements des usagers des Batobus.

Ils réclament, avec vous, la garantie des tarifs pour les usagers de la RTM, et ils demeurent convaincus qu’il est temps d’étudier, à la Communauté Urbaine MPM, les propositions que nous avions mis en débat dans notre projet pour les élections municipales, afin de développer cette déserte en procédant à une consultation auprès des riverains des ports qui seraient susceptibles d’accueillir le Batobus.

La pérennisation des Batobus passe, aussi, par leurs développements.

--> Signez et faites signer la pétition

20140724-CP-Beauvais-Le conflit devrait durer [ligne SNCF]

le 24 juillet 2014

20140724-CP-Beauvais-Le conflit devrait durer [ligne SNCF]

L’Assemblée lance la réforme ferroviaire sur la voie

le 23 juillet 2014

L’Assemblée lance la réforme ferroviaire sur la voie

Transports. Adopté par la majorité socialiste et l’UDI, le projet de loi n’a pas été voté par le Front de Gauche et l’UMP mais pour des raisons opposées.

L’Assemblée a adopté définitivement la réforme ferroviaire. Le texte, issu d’un compromis entre Députés et Sénateurs, a été voté par les groupes de la majorité tout comme par l’UDI mais rejeté par le Front de gauche et l’UMP.

La réforme vise à mettre fin à la séparation actuelle entre Réseau ferré de France (RFF) et la SNCF, qui se traduit par des surcoûts et des difficultés à coordonner les travaux ferroviaires. Il crée un groupe public ferroviaire, qui sera constitué d’un établissement public de tête «mère» (la future SNCF) et de deux établissements « filles » : le gestionnaire d’infrastructure (SNCF Réseau) et l’exploitant (SNCF Mobilités).

L’objectif est de stabiliser la dette du secteur ferroviaire (44 milliards d’euros) et de préparer l’ouverture à la concurrence du transport intérieur de passagers(en 2022 au plus tard).

Pour le Secrétaire d’État aux Transports, Frédéric Cuvillier, « l’adoption de cette loi va envoyer un signal fort auprès de nos partenaires européens. Cette réforme en profondeur de la gouvernance prouve qu’il est possible de bâtir un système ferroviaire intégré tout en garantissant un accès transparent, équitable et non discriminatoire au réseau ».

Cet accès de tous les opérateurs au réseau relèvera de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires, qui devra émettre un avis conforme sur la fixation des péages et la tarification de l’accès aux infrastructures de service.

« La réforme française va dans la bonne direction », a concédé récemment le commissaire aux Transports, Siim Kallas alors qu’il avait défendu contre Paris et Berlin une séparation entre le gestionnaire de réseau et l’opérateur historique.

Mais tel n’était pas l’avis de deux syndicats, SUD-Rail et la CGT-Cheminots, qui appelèrent à la grève le 10 juin pour réclamer la reprise de la dette de RFF par l’État et la création d’une entreprise publique unique.

Des amendements

Plusieurs amendements au projet de loi ont été néanmoins votés, notamment sur l’unité de la future SNCF, la convention collective ou le statut des cheminots.

Par ailleurs, les Députés ont voté une « règle d’or » contraignant l’État et les collectivités territoriales à financer le développement de nouvelles lignes qu’ils souhaiteraient. Il s’agit notamment de mettre fin aux « projets pharaoniques » de lignes à grande vitesse. Sur la dette existante, le projet de loi se contente de la freiner, à 60 milliards en 2025 au lieu de 80 sans la réforme. Le gouvernement devra d’ici deux ans remettre un rapport sur la résorption de cette dette.

Les Sénateurs ont de leur côté voté notamment des amendements pour relancer le transport de marchandises par fret ferroviaire, en grande difficulté. Les ports pourront ainsi devenir propriétaires des voies ferrées sur leur
domaine.

Le Front de gauche a voté contre le texte, notamment parce que « la question de la dette n’a pas été réglée », selon le chef de file des Députés Front de gauche, le communiste André Chassaigne.

Le texte a été également rejeté par l’UMP mais pour des raisons diamétralement opposées. « C’est une réforme floue qui n’assure pas l’exercice d’une concurrence saine en ne garantissant pas l’ouverture du marché », a dénoncé l’UMP Martial Saddier.

La Marseillaise, le 23 juillet 2014

20140723-OH-Nogent-sur-Oise-Panne de courrier : la réponse de la Poste

le 23 juillet 2014

20140723-OH-Nogent-sur-Oise-Panne de courrier : la réponse de la Poste