Commission santé et protection sociale du Parti communiste français

Commission santé et protection sociale du Parti communiste français
Accueil

Journée internationale "STOP TAFTA" - Les communistes varois à la rencontre de la population

le 11 October 2014

Journée internationale

Ce samedi 11 octobre était marqué par une journée européenne de mobilisations contre le grand marché transatlantique qui est en train d’être négocié dans le dos des peuples entre l’union européenne et les états unis.
Dans le Var les communistes étaient dans l’action samedi matin à Toulon avec d’autres organisations engagée contre ce grand marché appelé TAFTA.

Et l’après midi 35 communistes se sont retrouvés à grand Var la valette l’appel de la fédération du var du parti communiste. 3000 tracts ont été distribués des dizaines de discussions engagées !
Une mobilisation militante de près de cinquante communistes ce 11 octobre à la rencontre de la population pour informer sur la nocivité de ce grand marché.
Les discussions engagée ont confirmée la désinformation de la population sur les contenu de cette négociation et les conséquences néfastes qu’elles engendreraient si elle arrivait à terme en l’état.
Les états seraient soumis à un tribunal d’exception privé s’ils engeaient des politiques publiques ne permettant pas aux multinationales de dégager les profits escomptés.

Dans le prolongement des différents traités européens de supranationalité et de concurrence libre et non faussée, ce grand marché transatlantique, étend la domination des multinationales, des actionnaires et des banques, en aggravant la situation de millions de personnes en Europe et aux états unis.
Avec d’autres organisations et des citoyens, les communistes sont décidés à prendre toutes leur place dans ce combat du peuple contre la toute puissance de l’argent roi.

Le gouvernement français n’a pas la légitimité pour ratifier des accords contre le peuple, il doit informer largement la population puis engager un référendum.

La valette du var dimanche 12 octobre 2014

Manifestation 16 octobre à Lille : Mobilisation pour la protection sociale, l'emploi et les salaires

le 10 October 2014

Manifestation 16 octobre à Lille : Mobilisation pour la protection sociale, l'emploi et les salaires

SALAIRES BLOQUES - EMPLOIS SUPPRIMES - PERSONNELS MEPRISES + D’ARGENT POUR LA SECU

MANIFESTATION Jeudi 16 octobre 14h place de la solidarité à Lille (Métro Wazemmes)

A l’appel de la CGT et des organisations syndicales


Le gouvernement a encore frappé : il vient d’annoncer la prime de naissance divisée par trois dès le second enfant, la durée du congé parental divisée par deux pour les mères, divers versements repoussés d’un mois et la majoration des allocations familiales repoussée de 14 à 16 ans.

Quelques mesures « emblématiques » sur la famille de son projet de loi à venir sur le financement de la Sécurité sociale (PLFSS). 700 millions prélevées dans les porte-monnaie des familles, alors que les patrons viennent d’être exonérés du paiement de la cotisation familiale. Combien seront annoncés dans les autres branches ? Le choix du gouvernement est clair : prendre aux pauvres pour donner aux riches.

Hollande c’est Robin des Bois à l’envers.

Congé parental : de qui se moque-t-on ?

18 mois pour chaque conjoint sans augmentation de l’indemnité versée qui s’élève à 566 euros ! Au nom de la réduction des déficits publics, le gouvernement fait des choix austéritaires qui vont frapper de plein fouet les familles et singulièrement les femmes. Les mêmes, si prompts à prendre en exemple d’autres pays européens pour faire passer la pilule de l’austérité, oublient de dire que celui ou celle qui prend un congé parental perçoit, en Allemagne, 67% de son salaire net et en Suède 80% !

Utiliser l’aspiration légitime à faire avancer l’égalité entre les femmes et les hommes pour faire des économies sur le dos des familles et pour réduire le temps d’un des parents près de son enfant est scandaleux. D’autant que la France est en retard de 400 000 places de crèches nécessaires pour les familles et leurs enfants et que tout rattrapage est en panne du fait de l’austérité.

Une grande mansuétude pour les actionnaires

La vraie question c’est de savoir comment le gouvernement compte s’y prendre après l’annonce de 30 milliards d’exonérations de cotisations familiales employeurs. ? De fait, le gouvernement s’en prend aux familles pour renflouer le budget de la Sécurité sociale plutôt que de revoir l’assiette des cotisations en s’en prenant notamment aux dividendes des actionnaires et de s’en prendre aux 25 milliards d’euros annuels de fraude aux cotisations patronales. Malheureusement, ce n’est pas moins de 3,2 milliards d’économies sur la seule branche maladie, en ciblant particulièrement les produits de santé,que prétend faire le gouvernement.

Le 16 octobre pour d’autres choix

Les associations, les syndicats sont vent debout. Thierry Le Paon explique : « L’objectif est que le budget ne soit pas voté en l’état », « dans le cadre des politiques d’austérité menées par ce gouvernement, dans le cadre du pacte de responsabilité, on parle beaucoup des 41 milliards d’euros donnés au patronat » mais « moins des économies budgétaires engagées, les 51 milliards ». « Or elles se feront en grande partie sur la santé, au moment même où l’hôpital public manque de moyens ». Ils pourront compter sur le soutien du PCF et des parlementaires communistes et du Front de gauche.

 

Plus belles les luttes. Un nouveau secrétaire général cheminot CGT à Marseille

le 10 October 2014

Plus belles les luttes. Un nouveau secrétaire général cheminot CGT à Marseille

Nicolas Desclos est devenu le nouveau secrétaire général CGT des cheminots de Marseille. Ce conducteur de train de Saint Charles prend donc la succession de François Tréjédor. L’occasion pour nous de faire un tour d’horizon sur la profession et sur la SNCF à Marseille. Une exclu Plus belles les Luttes.

SNCM. La stratégie du sabordage

le 09 October 2014

SNCM. La stratégie du sabordage

La réunion de mardi en préfecture a montré la collusion entre la direction de l’entreprise et le gouvernement pour en finir avec la compagnie de service public. Mille emplois sont en jeu.

Le Medef n’a cessé de le marteler sur tous les tons : il faut en finir avec la SNCM. S’il en fallait une nouvelle preuve, la réunion entre représentants de l'État, de Transdev et des salariés, qui s’est tenue mardi, a montré l’évident alignement du gouvernement sur les positions de la direction de l’entreprise : le dossier de la compagnie maritime de service public pourrait bien atterrir très prochainement sur les bureaux des juges du tribunal de commerce. C’est en tout cas la volonté de la direction de Transdev qui, depuis des mois, ne fait plus un secret de son désir de se débarrasser de la SNCM et de déposer le bilan à la fin octobre.

Bel et bien enterré donc le protocole d’accord signé avec l’ancien Ministre des Transports à la suite d’une grève des marins de 17 jours. Oubliée l’obligation de soumettre tout navire cabotant en eaux territoriales d’adopter le pavillon français de premier registre. Passés en pertes et profits, les navires qu’une compagnie qui se voulait attractive pour les usagers et respectueuse de l’environnement, entendait commander aux chantiers navals de Saint-Nazaire.

Poséidon, un plan pour ouvrir les lignes au low-cost

Olivier Diehl, le nouveau Président du directoire, parachuté par Transdev et l'État français au mois de mai, va droit au but pour expliquer l’objectif de son plan pour la « nouvelle compagnie », baptisé Poséidon : « Il s’agit d’effacer l’ardoise de la SNCM et créer un nouveau périmètre d’activité à l’équilibre. » Et pour cela, pas mieux que de tailler en premier lieu dans les emplois, 400 à 500 postes de navigants devant être supprimés, auxquels il faut ajouter près de 280 postes de sédentaires ainsi qu’une centaine de CDD réguliers. Transdev et le gouvernement, par la voix du Président du directoire, vont encore plus loin en supprimant les dessertes vers la Corse à partir de Toulon et en réduisant la flotte de huit à six navires.

Quant aux éventuels repreneurs que sont à l’heure actuelle le Norvégien Siem et le Sud-Américain Baja Ferries, hors de question qu’ils avancent leurs pions avant que soit réglé le contentieux financier avec la commission européenne. Soit 440 millions, dont les syndicats de marins estiment que l'État n’a pas exploité tous les recours nécessaires pour s’en exempter, alors que la compagnie privée Corsica Ferries échappe à cette sanction, bien qu’ayant bénéficié d’aides publiques. L’hypothèse du dépôt de bilan parait de plus en plus précise. Humainement, industriellement, cette stratégie du sabordage aura des conséquences dramatiques dont on ne mesure pas encore toute l’ampleur. La médiation entre les différents protagonistes n’est pas terminée et une prochaine réunion est prévue le 28 octobre.

Gérard Lanux (La Marseillaise, le 9 octobre 2014)

Le coup de gueule de Jean-Marc Coppola

Le Vice-Président communiste du Conseil régional a tenu à réagir à chaud au compte rendu de cette réunion en Préfecture. « Je ne peux qu’exprimer mon sentiment de colère à l’égard de l'État et de son gouvernement qui accompagnent Transdev dans cette volonté de liquidation de la SNCM », a déploré Jean-Marc Coppola. « Ce qui motive ce plan de licenciements, ce sont des choix qui n’ont rien à voir avec des intérêts purement économiques. Cette casse de la compagnie maritime, orchestrée depuis 2006, a pour objectif de préparer l’installation d’un monopole privé où Corsica Ferries et la CMN se partageraient le gâteau. »

Pour l’élu du Front de gauche, la liquidation de la SNCM serait « un gâchis humain, industriel et économique inacceptable ». Et de pointer du doigt les conséquences sur toutes les entreprises dont l’activité dépend étroitement de la bonne santé de la compagnie. « Ce ne sont donc pas mille emplois qui sont concernés, mais plusieurs milliers de personnes qui se retrouveront au chômage. Avec tout ce que cela implique en termes de coût. Il appartient aux collectivités territoriales de faire bloc pour soutenir les organisations syndicales qui se battent contre ce projet. Nous présenterons un plan alternatif qui, je le souhaite, sera entendu de tous. En particulier de l'État. »

Entretien réalisé par La Marseillaise, le 9 octobre 2014

Pays d’Aubagne. Subventions remises en cause !

le 09 October 2014

Pays d’Aubagne. Subventions remises en cause !

L’État « réévalue » le versement de ses subventions au projet du tram d’Aubagne.

Le 30 mai dernier, Antoine Di Ciaccio, Conseiller municipal à Cuges-Les-Pins et conseiller communautaire avait adressé un courrier au Président de la Région et à celui du Département des Bouches-du-Rhône ainsi qu’au ministre des Transports au sujet des subventions accordées par ces collectivités et par l’Etat au projet du tramway d’Aubagne.

Le Conseiller communautaire interpellait les Présidents des collectivités et du ministre sur l’affectation de ces subventions « eu égard au changement de la nature du projet ». Il demandait précisément si « les  participations non versées peuvent-elles être réaffectées sur un autre projet de TCSP (transport en commun en site propre) » ?

Une première réponse vient de tomber. En l’occurrence, celle d’Alain Vidalès, Secrétaire d’État aux transports qui, dans un courrier daté du 1er octobre dernier, vient de répondre sur les subventions de l’État (13,76 millions d’euros !).

Il confirme que ce qui a été versé ne sera pas remis en cause, mais par contre, compte tenu que l’Agglo a modifié « de façon substantielle l’objet de la subvention… les montants de l’aide de l’État, et partant du solde de la subvention initialement prévue devraient donc être réévaluées en conséquences ».

Si les décisions de la Région et du Département vont dans le même sens, cela risque de compromettre sérieusement le projet Val’Tram, si cher à Sylvia Barthélémy.

La Marseillaise, le 9 octobre 2014

Rassemblement le 10 octobre pour une régie publique de l'eau à LMCU

le 09 October 2014

Rassemblement le 10 octobre pour une régie publique de l'eau à LMCU

Gestion de l’eau de Lille Métropole : LMCU est a l’heure du choix MOBILISONS-NOUS ! pour une régie publique de l’EAU en 2015

 

Le contrat liant Lille Métropole Communauté Urbaine a la Société des Eaux du Nord (SUEZ) expire en 2015. C’est une opportunité évidente permettant de revenir a une gestion publique de l’eau afin de payer son juste prix...

 

Retrouvez ici les propositions du programme du Front de Gauche à Lille sur la gestion de l’eau

 

Vendredi 10 octobre à 16h30 Rassemblement devant LMCU, rue du Ballon, avant le prochain Conseil de Communauté !


Déjà, le 21 juin 2013, sous la pression des citoyens, LMCU a choisi de créer une Régie Publique de production de l’eau qui produira en 2015 les 3/4 de l’eau distribuée à prix coûtant ! C’est une énorme avancée qui bénéficiera à tous !

Ensuite, LMCU a fait le choix de prendre en main le renouvellement du réseau, mais elle s’arrête à la moitié du chemin : elle hésite encore pour la partie réparation du réseau et la distribution… ourtant, le bilan de la gestion précédente par la Société des Eaux du Nord (SUEZ) est connu : - 20% de taux de fuite, soit 32 litres par habitant perdus chaque jour - et une dette de plus de 55 millions d’euros que SUEZ conteste encore au tribunal !

 

De 1985 à 1997, la Société des Eaux du Nord, alors filiale des multinationales SUEZ et VEOLIA (à 50/50), a ponctionné sur les factures des usagers 145 millions d’euros pour des travaux non-effectués. (Source : Chambre Régionale des Comptes)

 

BAS LES MASQUES ! LMCU NE DOIT PLUS HESITER ! NOUS POUVONS CRÉER UNE REGIE PUBLIQUE DE L’EAU EN LIEN AVEC LES CITOYENS, AU NOM DE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL, À L’INSTAR DE GRENOBLE, DE PARIS, DE NICE ! LMCU vient d’écarter SUEZ de l’appel d’offre. Mais qu’en est-il de la dette ? Les usagers de l’eau devront-ils la payer à nouveau sur leur facture ? LMCU remettra-t-elle le couvert avec VEOLIA maintenant ? Cette multinationale ne fera pas mieux. On le voit dans les autres villes où elle gère l’eau, comme à Marseille !

 

Collectif Eau Pour une Régie Publique et les premiers m3 gratuits : L’EAU EST UN BIEN COMMUN DE L’HUMANITE, PAS UNE SOURCE DE PROFIT ! Premiers membres : AC ! Lille, ATTAC Lille, Attac Roubaix-Tourcoing, Attac Villeneuve d’Ascq, Les Alternatifs, le Bruand Réveillé, CGT LMCU, Collectif anti-Austérité de Roubaix, Collectif Vraiment à gauche ! Lomme-Lambersart, Coordination Communiste, Eau secours, Europe Ecologie / Les Verts, FSC, FSU, Gauche Alternative (FASE), Gauche Anticapitaliste, Gauche Unitaire, les Gens d’Hellemmes, les Indignes de Lille/Démocratie réelle maintenant, LDH, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement 59/62, Nouveau Parti Anticapi-taliste, Objecteurs de Croissance Lille, Parti Communiste Français, Parti de Gauche, PRCF 59, Snuipp-FSU, Solidaires 59/62, Terre des Hommes, Théâtre de l’Opprime, Union Locale des Syndicats CGT de Lille et Environs, Union locale des Syndicats CGT d’Armentières et environs, et des citoyens..

 

SNCM. Le low-cost, toutes voiles dehors ?

le 08 October 2014

SNCM. Le low-cost, toutes voiles dehors ?

Réunion hier en Préfecture autour du « nouveau projet » pour la Compagnie nationale maritime. Dans un climat d’inquiétude des syndicats de marins et des sous traitants qui va grandissant.

Comme s’il fallait une preuve supplémentaire de cette inquiétude, c’est le syndicat CFE-CGC, à la veille de cette réunion en Préfecture, qui a tiré hier la sonnette d’alarme en rappelant « le risque imminent d’engager une procédure irréversible sans en maîtriser les conséquences sur la SNCM et ses activités, l’emploi de ses 2.000 salariés et des 2.000 salariés de sociétés sous traitantes en Corse et Paca, la filière maritime française déjà terriblement affectée, l’équilibre de la continuité territoriale vers la Corse, le devenir même de la desserte et enfin la place stratégique des relations entre le France et le Maghreb ».

Une réunion pour rien

La réunion, qui s’est tenue hier en Préfecture des Bouches-du-Rhône autour du médiateur Gilles Bélier, nommé par le gouvernement, n’a pas apaisé ces inquiétudes. Pour Maurice Perrin, responsable syndical CFE-CGC, « les salariés sont sortis sans aucun élément d’apaisement concernant les risques de redressement judiciaire. Quant à l’État qui devrait tout faire pour rapprocher les points de vue, il est incapable d’accomplir cette tâche ». Ce qui a été constaté par le médiateur Gilles Bélier qui, en début de séance, a exprimé son mécontentement quant au peu d’intérêt de cette réunion.  Ce même  médiateur qui a refusé de répondre aux questions des journalistes.

« Transdev et Veolia campent sur leurs positions et nous risquons d’être confortés à la fois au redressement judiciaire et aux exigences d’indemnisations européennes », poursuit Maurice Perrin. « Et quant au plan social prévu par la direction, il se chiffrerait en plusieurs centaines d’emplois supprimés, de 800 à 1.000, beaucoup plus que le précédent ».

Pour Frédéric Alpozzo, délégué syndical des marins CGT, « si nous sommes encore dans l’espace de la médiation, il est clair que l’évolution du dossier ne va pas dans le bon sens, la direction ayant un schéma industriel mortifère. Ni les actionnaires ni les responsables de l’État n’apportent d’éléments de réponse sur les éléments incontournables de la pérennisation de l’entreprise et de la continuité de l’exploitation. Et on se rend très bien compte que ce gouvernement s’inscrit pleinement dans le schéma dicté par la direction de l’entreprise ». Une direction dont il assure qu’elle fait tout pour faire fuir les usagers. « Avec son plan de classe sociale qui touchera des milliers d’emplois directs et indirects en Paca comme en Corse, elle crée les conditions de la justification du low-cost, ouvrant grand les portes à Corsica Ferries ».

Alors le low-cost peut-il sans risque de tempête déployer sa grand voile ? C’est ce que pensent les responsables syndicaux des deux organisations qui tentent d’imposer un autre choix au gouvernement. Un choix plus stable que des équipages payés à la petite semaine, sans aucun respect du droit social français, comme cela avait été pourtant acté par le précédent Secrétaire d’État aux transports. Une conception du service public respectueuse des usagers comme de l’environnement. « Nous allons saisir son successeur, pour qu’il explique comment ce gouvernement est incapable d’assurer un schéma d’avenir et une sécurité à la compagnie maritime nationale. Mais pour nous, cela ne fait aucun doute, c’est bien un choix politique et idéologique que fait le pouvoir socialiste ».

Une prochaine réunion aura lieu le 28 octobre…

Gérard Lanux (La Marseillaise, le 8 octobre 2014)

20141008-OH-Creil-La polyclinique veut mieux se faire connaître du grand public

le 08 October 2014

20141008-OH-Creil-La polyclinique veut mieux se faire connaître du grand public

20141008-OH-La Neuville-Roy-La Poste bientôt remplacée par une agence postale communale

le 08 October 2014

20141008-OH-La Neuville-Roy-La Poste bientôt remplacée par une agence postale communale

20141008-CP-La Neuville-Roy-Le bureau de poste va fermer

le 08 October 2014

20141008-CP-La Neuville-Roy-Le bureau de poste va fermer