Commission santé et protection sociale du Parti communiste français

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NON A L'AUSTERITE : UN AUTRE BUDGET EST POSSIBLE !

le 02 October 2014

NON A L'AUSTERITE : UN AUTRE BUDGET EST POSSIBLE !

20141002-LeP-Oise-Les futurs honoraires de la SNCF ne font pas que des heureux

le 02 October 2014

20141002-LeP-Oise-Les futurs honoraires de la SNCF ne font pas que des heureux

Miramas. Les conséquences de la réforme ferroviaire pour notre vie

le 02 October 2014

Espace Ambroise Croizat
4, Avenue Maréchal Juin
13140 - Miramas

Mercredi 8 Octobre à 18h

Avec la participation de Gilbert Garrel, Secrétaire de la fédération CGT des cheminots

Aubagne. Participer pour y voir plus clair

le 01 October 2014

Aubagne. Participer pour y voir plus clair

Les usagers veulent être associés à la gestion de l’eau.

« Le collectif Eau » du Pays d’Aubagne et de l’Etoile invite les usagers, contribuables, citoyens intéressés par la question de la gestion publique de l’eau à participer à la constitution de la Commission citoyenne de suivi et de propositions (CCSP) ce soir à la salle des Sociétés, rue Jeu de Ballon à Aubagne.

Le collectif qui existe depuis 4 ans, constitué de plusieurs associations, usagers et citoyens, avait comme objectif initial d’accompagner le retour de la gestion publique de l’eau et de l’assainissement. « Cela a débuté par une réflexion sur l’utilisation de l’eau, sa distribution et son contrôle », explique Jean Reynaud du collectif. « Ce qui a abouti à la création du collectif et l’introduction dans les statuts de la SPL (société publique locale), de la participation d’usagers en tant qu’observateurs au sein du conseil d’administration », renchérit Jean-François Serra.

Sur proposition du collectif, il avait été décidé, avant les élections municipales d’avril dernier, que les usagers seraient représentés au sein du conseil d'administration (CA) de la SPL en tant qu’observateurs provisoires. « Après les élections nous devrions passer d’observateurs provisoires à observateurs permanents », poursuit, Jean-Louis Abric. « Mais auparavant, nous devions passer par une Commission citoyenne constituée par les usagers et contribuables pour désigner des représentants. Ce qui semble remis en cause actuellement », ajoute Pierre Virey. « Les élus du CA nous ont proposés que ça soit les maires qui choisissent les représentants. Ce qui n’est pas tout à fait la même chose car ils sont en même temps au CA et ce sont eux qui désigneraient, en plus, les usagers. »

Décidés à ne pas laisser faire, les membres du collectif appellent les usagers, les citoyens, les associations, les contribuables de l’Agglo, à s’organiser afin de constituer une CCSP pour élargir au mieux leur représentativité et participer au suivi et au contrôle de la SPL.

Cette commission une fois constituée devrait présenter une liste de candidature au conseil d’administration de la SPL. Une liste composée de 5 observateurs permanents et de 5 suppléants. En plus, la commission devrait présenter également différentes personnes, toujours en tant qu’observateurs, au sein des différentes commissions créées par le CA de la société publique.

« Le rôle de cette commission et des observateurs est de relever des problèmes, si problème il y a, et faire des propositions de telle sorte que ça soit un autre éclairage qui permet aux élus du CA de prendre  des décisions qui seraient plus adaptées aux intérêts des citoyens », souligne Jean Reynaud.

La puissance citoyenne entend peser de tout son poids pour que « L’eau des collines », le contrôle et le suivi de la gestion de l’eau soient partagés avec les usagers.

Mustapha Chtioui (La Marseillaise, le 1er octobre 2014)

Sauvons notre Sécu ! - Creil, 24 septembre et 1er octobre 2014

le 01 October 2014

Sauvons notre Sécu ! - Creil, 24 septembre et 1er octobre 2014

Le Comité de défense et de promotion de la santé et des hôpitaux de Creil et de Senlis a sensibilisé la population à deux reprises, le 26 septembre et le 1er octobre, à la préservation de la Sécurité sociale, notre Sécu.

Communiqué du Comité de défense

La sécu, notre sécu a été créée par les résistants au nazisme.

Notre Sécu a été mise en place par les travailleurs à la Libération, sous la direction de l'un d'entre eux, Ambroise Croizat, ministre du Travail de 1945 à 1947.

À l'origine, elle fut gérée par les représentants des travailleurs eux-mêmes. Ce n'était pas une bureaucratie étrangère à notre peuple. C'était notre Sécu, ce n'était pas un impôt de plus, c'était le fruit de notre travail. Pour les patrons c'était le prix qu'il fallait payer pour notre santé.

Et puis les patrons ont imposé la cogestion, c’est-à-dire la gestion « partagée » avec les travailleurs ! Sous prétexte qu'il l'a payait. Mais qui produit les richesses !

Ainsi la dénaturation de notre protection sociale brise notre système de soins.

D'une Sécu qui a haussé notre organisation sanitaire au premier rang dans le monde, les patrons et de nombreux gouvernements,en ont fait une administration suspicieuse, tatillonne, dont le budget est voté par l'Assemblée nationale. Et comme il est insuffisant, dette oblige, on concède pan par pan notre appareil de soins au secteur privé lucratif et les remboursements aux assurances privées dont les cotisations, source de fabuleux bénéfices, viennent s'ajouter aux cotisations prélevées sur nos salaires.

C'est toute notre protection sociale qui se rétrécit de jours en jours, creusant les inégalités d'accès aux soins et menaçant la santé de tous, mettant à mal nos hôpitaux...

 

Nous allons désormais harceler nos gouvernements jusqu'à ce qu’ils nous rendent notre bien :

  • gestion démocratique.
  • remboursement à 100 % de tous les soins

Nous tiendrons jusqu'à ce qu'il en soit ainsi.

 

Les dividendes, puisés sur notre travail, ne cessent d'augmenter pendant que les forfaits et franchises augmentent et les remboursements diminuent !

 

 

 

Ce qu'est (et n'est pas) la protection sociale

 

Le caractère universel de la protection sociale, une bataille jamais gagnée

Une des questions au cœur des choix politiques concernant la protection sociale est bien son caractère universel. C'est bien sûr l'objet d'une bataille idéologique féroce avec les forces réactionnaires depuis sa mise en place avec les lois de 1946. Le patronat et la droite n'ont jamais accepté le choix politique concrétisé par Ambroise Croizat.

Ce débat est connu. Mais depuis quelques années, c’est aussi avec tout un courant social-démocrate au nom de ce qu’ils appellent les difficultés financières et économiques que le débat s’engage. Les définitions du mot universalité sont claires. « Caractère de ce qui concerne, implique tous les hommes », « Caractère de ce qui est universel, de ce qui s’étend à un très grand nombre de pays, de civilisations, d’hommes. »

 

« Chacun cotise en fonction de ses moyens et reçoit en fonction de ses besoins »

Le caractère universel de la protection sociale renvoie bien à la conception fondamentale. « Chacun cotise en fonction de ses moyens et reçoit en fonction de ses besoins ». C’est la question structurante de la solidarité ou de l’assistanat. Remettre le caractère universel en cause c’est remettre la conception de la protection sociale en cause. Un des aspects pouvant amener de la confusion est lié à la question de la réduction des inégalités sociales.

 

La protection sociale n’a pas vocation à réduire les inégalités sociales.

C’est la compensation du « coût » de l’enfant, c’est la prise en charge des frais de maladie, c’est le versement d’une pension de retraite en fonction de son activité professionnelle tant en matière de durée que de niveau salarial obtenu. La protection sociale ne réduit pas les inégalités. Cette réduction relève de la politique sociale, d’une politique de réduction des inégalités sociales. C’est un choix d’une politique réellement de gauche de s’attaquer aux inégalités sociales, de les réduire en ayant des mesures inégalitaires pour réduire ces inégalités.

Ce sont aussi la politique de l’augmentation des salaires, celle de l’augmentation du pouvoir d’achat qui sont interrogées par la réduction des inégalités. La politique sociale n’est pas universelle, elle doit être inégalitaire pour réduire les inégalités. Il faut un certain courage politique pour s’attaquer aux inégalités, pour remettre en cause les différences sociales. Cela ne peut se faire que frontalement.

 

Une protection sociale basée sur la solidarité

À l’inverse, la protection sociale à la française est basée sur la solidarité qui induit un caractère universel à la différence d’un système assurantiel et individualiste qui aggrave les inégalités.

L’universalité ne cherche pas l’égalité entre les individus, elle traite les individus de manière égalitaire, elle leur restitue de manière solidaire ce qui collectivement a été mis en commun. Faisant ainsi, la protection sociale amortit les crises et en limite les conséquences. La protection sociale ne peut être présentée comme simple régulateur des politiques sociales et correcteur des inégalités sociales créées en amont au cœur même du processus de production. Porter ces deux aspects c’est aussi porter l’universalité de la protection sociale solidaire comme une idée neuve, un concept plus que jamais d’actualité face à la déréglementation européenne et mondiale. Il faut ces remparts sociaux. Dans les actions des retraité-e-s, s’exprime aussi, cette aspiration et cette défense d’un système basé sur l’universalisme qui a fait ses preuves depuis la mise en œuvre des ordonnances d’octobre 1945.

 

Le PCF entend intensifier ses initiatives

Dans l’immédiat le PCF, avec toutes celles et ceux en lutte pour combattre l’austérité et la casse entend intensifier ses initiatives pour obtenir la fin des exonérations sociales et fiscales, du gel des salaires, prestations sociales et retraites, un rattrapage immédiat de 300 € et une augmentation générale des retraites et pensions avec effet rétroactif au 1er janvier 2014, le financement de l’hôpital public à la hauteur des besoins, une véritable réforme de financement de la sécurité sociale basée sur la cotisation, une loi progressiste sur l’adaptation de la société au vieillissement basée sur une solidarité intergénérationnelle avec un financement à 100 % par la sécurité sociale.

 

20141001-OH-Creil-« L'hôpital fait avec les budgets qui lui sont alloués » [président du Conseil de surveillance]

le 01 October 2014

20141001-OH-Creil-« L'hôpital fait avec les budgets qui lui sont alloués » [président du Conseil de surveillance]

20141001-OH-Creil-L'hôpital Laennec ne soigne pas l'envers du décor

le 01 October 2014

20141001-OH-Creil-L'hôpital Laennec ne soigne pas l'envers du décor

Hôpitaux publics et EHPAD : les mêmes logiques d'austérité

le 30 September 2014

Hôpitaux publics et EHPAD : les mêmes logiques d'austérité

Après les hôpitaux de proximité dont l'offre de soins a été lourdement amputée dans le Finistère, les hôpitaux de Brest et Quimper sont eux aussi victimes de budgets d'austérité.

Au début de l'été, les personnels de l'EPSM Gourmelen de Quimper dénonçaient « l'enterrement du service public de santé » et se mettaient en grève contre les projets de restructuration se traduisant par des suppressions de postes, des conditions de travail plus difficiles et une dégradation de l'accueil des patients.

Il y a quelques jours, les syndicats CGT, CFDT et Sud-Santé du CHRU de Brest-Carhaix appelaient à leur tour à la grève contre les 183 suppressions de postes envisagées sur les deux sites au nom d'un plan de retour à l'équilibre budgétaire imposé au forceps.

Salariés de l'hôpital et patients subissent les conséquences d'une situation dont ils ne sont pas responsables. Les hôpitaux publics sont victimes de logiques politiques qui les ont livrés à la concurrence du privé, qui ont vidé les caisses de la protection sociale en multipliant les cadeaux fiscaux et les exonérations de cotisations aux grands patrons, aggravant le déficit de la Sécu déjà mise à mal par l'engrenage infernal de l'austérité, du chômage et de la récession.

 

Ce sont les mêmes logiques de baisse des dépenses publiques qui mettent en difficulté les EHPAD. Ces établissements, qui reçoivent des personnes âgées en perte d'autonomie, fonctionnent dans des conditions insupportables pour les agents et les soignants comme pour les personnes hébergées et leurs familles. Dans plusieurs d'entre eux les personnels avec le soutien des familles se sont mis en mouvement pour dénoncer le sous-effectif chronique et les conditions de travail infernales qui ne permettent pas de traiter humainement les résidents et de respecter leur dignité. C'est le cas pour les EHPAD de Quimper et Plogonnec, mais aussi dans les Abers ou à Rosporden.

Et si le gouvernement a mis en route une « loi d'adaptation de la société au vieillissement », les intentions affichées par celle-ci sont fortement compromises par le manque de moyens financiers. Sans compter que la seconde partie de la loi concernant justement l'hébergement en établissement pour lequel le reste à charge pèse lourdement sur les familles est renvoyée aux calendes grecques en raison de l'état des finances publiques.

 

Et pourtant l'argent ne manque pas, mais il faut le chercher là où il est . Plutôt que d'exonérer les employeurs de 30 milliards de cotisations familiales et de les compenser ensuite sur le dos des familles, plutôt que de ponctionner salariés et retraités, François Hollande et Manuel Valls feraient mieux de s'intéresser aux dividendes en hausse de 30% versés au 2ème trimestre de cette année par les entreprises françaises à leurs actionnaires. Rien que la fraude patronale aux cotisations sociales prive notre pays de 25 milliards d'euros annuels.

Voilà quelques pistes pour répondre aux besoins de la population, et relancer l'emploi et la croissance.

C'est le message qui était porté aujourd'hui dans la rue par les centaines de retraités qui ont manifesté à Quimper et Brest, pas convaincus par l'aumône annoncée par le premier ministre

Et qui sera porté le 16 octobre lors de la journée nationale d'action et de mobilisation pour la reconquête de la Sécu.

 

 

 

Réouverture de la ligne Gardanne-Carnoules. Compte rendu de l'assemblée générale

le 29 September 2014

Réouverture de la ligne Gardanne-Carnoules. Compte rendu de l'assemblée générale

 

Selon l’ordre du jour.

Nous remercions M. A Patouillard Président de l’Association TGV Développement PACA, et nous excusons P Dordor le président de l’association Arcar, ainsi que M. Claude Jorda Conseiller générale et la mairie de Gardanne de leurs absence. En revanche nous souhaitons la bienvenue à l’Association, le MNLE 13 (mouvement national de lutte pour l’environnement) au sein de notre association et remercions Melle Khedidja Belarbi pour son implication à nos côtes.

Le président regrette la lenteur relative à la réouverture de notre ligne ferroviaire (TER+FRET) Gardanne/Carnoules due au refus de RFF et de la SNCF de la considérer comme une non priorité.

Cependant bon nombre de Mairies, débuté, conseillers (régionaux et généraux) sénateurs sont favorables à cette réouverture.

Les nombreuses signatures à nos pétitions prouvent à quel point les citoyens ont eux aussi hâte de voir enfin le bout du tunnel.

Nous en avons assez qu’à intervalles réguliers on refasse des études qui coutent excessivement cher et grèvent un budget qui serait mieux employé à la remise en service de la ligne.

Et qu’en est-il de ce projet de transport de bois dont il est question pour Pechiney (porteur d’emplois et d’énergie propre).

De toute façon 18 ans de lutte ce n’est qu’un début. Aidés des chromeurs, des retraités, des étudiants des travailleurs et même des touristes, nous continuerons nos actions pour faire échec à la pollution, au bruit et à l’insécurité.

La réouverture aux voyageurs et au fret devient une URGENCE.

Nous souhaiterions que les préfets organisent une table Ronde pour débattre de cette Réouverture le plus rapidement possible.

Contre l’austérité et la braderie des services publics Soutien aux agents de la CUS !

le 29 September 2014

Contre l’austérité et la braderie des services publics Soutien aux agents de la CUS !

L’austérité nuit gravement au service public !

Dégradation des conditions de travail des agents

Privatisation rampante du bien commun

Danger pour la qualité du service public

Ce lundi 29 septembre, les agents des services Nettoiement et Education de la Communauté Urbaine de Strasbourg (CUS) sont en grève et manifestent pour la sauvegarde d’un réel service public dans nos écoles.

Depuis plusieurs années, les agents de la CUS subissent de plein fouet les conséquences des politiques d’austérité. Départs non remplacés, problème de remplacement lors des congés maladie ou de maternité, pression au travail… les conditions ne sont plus réunies pour permettre aux agents d’opérer leur mission normalement.

La situation est particulièrement préoccupante dans les écoles : les réductions drastiques d’effectifs aboutissent à une dégradation des conditions d’accueil des enfants. Alors que les effectifs sont d’ores et déjà insuffisants, les contrats venant à terme ne sont plus renouvelés et les départs en retraite ne sont pas toujours remplacés.  Cette situation est alarmante !  Les services publics municipaux sont sous pression. Et si la même logique se poursuit, la situation ne pourra qu’empirer. Avec à la clé encore plus de difficultés pour les agents, et une dégradation de la qualité du service public pour les usagers.

Le PCF apporte son plein soutien aux agents de la CUS et à leurs organisations syndicales. Lutter pour des conditions de travail et des statuts décents, défendre un service public de qualité pour l’ensemble des strasbourgeois(es), combattre la privatisation rampante de notre bien commun : dans les école, cantines… : le mouvement des agents de la CUS est aussi celui de tous les salariés et usagers !

Le PCF propose :

  • A Strasbourg comme au niveau national, de rompre avec politiques d’austérité qui frappent de plein fouet nos services publics et ne font qu’aggraver la situation économique
  • D’abandonner immédiatement  la logique d’externalisation des services : le service public n’est pas à vendre, et il mérite des agents stabilisés, formés…
  • D’en finir avec la précarité des agents : les statuts instables menacent gravement les conditions de travail et la qualité du service public à long terme.

Toutes les orientations prises dans ces domaines par la municipalité et la CUS sont induites de manière directe par les politiques d’austérité liées au « pacte de responsabilité » du gouvernement Valls-Hollande qui dans le même temps, fait cadeau de 40 milliards d’euros au grand patronat.

L’augmentation de la TVA et la baisse des dotations d’Etat aux collectivités territoriales, de 28 milliards d’euros sur 3 ans, sont autant de mesures qui ont été votées à l’Assemblée Nationale par les députés socialistes dont Armand JUNG et Philippe BIES. Quant à Robert HERMANN (PS), main dans la main avec Yves BUR (UMP), il décline ces mêmes politiques de rentabilité dans la CUS ! Ces politiques d’austérité nationale et locales se traduisent par une régression du service public. Une fois de plus, les populations et les agents territoriaux en sont les victimes.

Fin septembre, le budget de l’Etat pour 2015 sera présenté à l’Assemblée Nationale. A l’heure où les dividendes versés aux actionnaires des grands groupes français ont augmenté de plus de 30% au 2ème trimestre 2014 et où les grandes entreprises touchent par ailleurs 7 milliards de CICE, la Fédération du Bas-Rhin du Parti Communiste Français appelle les députés bas-rhinois à voter contre la politique austéritaire défendue par Manuel VALLS qui enfonce chaque jour davantage les Français-e-s dans la crise sociale.

Remplir les poches du grand patronat ou permettre aux populations de mieux vivre, il faut choisir !