Commission santé et protection sociale du Parti communiste français

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Sciences en Marche à Poitiers le jeudi 9 octobre rassemblement à 18h Place d'Armes et vendredi 10 octobre à 10h rassemblement à la Présidence de l'Université pour circuit

le 07 October 2014

- jeudi 9 octobre : rassemblement 18h Place d'Armes
- vendredi 10 octobre : rassemblement 10h cours de la présidence de l'Université - Hotel Pinet - rue de l'Hotel Dieu
    => départ en vélo pour le SP2MI-Futuroscope : itinéraire ici.
    => à partir de 11h30 pique nique sur le site du SP2MI. Accueil par les doctorants.
    => départ 14h pour Chatellerault itinéraire ici.
    => retour en TER, voiture (voir ici)

Un préavis de grève a été déposé pour couvrir les personnels.
A Poitiers, un comité local a été créé : sciences en Marche Poitiers
Vous pouvez apportez votre soutien sur ce site.

au fait pourquoi on fait tout ça ???

=> le 11 juin dernier, le comité national de la recherche scientifique s'est réuni en session plénière extraordinaire : le Conseil scientifique du CNRS, à l’issue de son mandat (2011-2014), a en effet estimé qu’il était de son devoir d’alerter les pouvoirs publics et la société civile sur les dangers que les perspectives actuelles en matière d’emploi scientifique font courir à la recherche française (lire ici).

La précarité explose : sans compter les doctorants ni les vacataires d’enseignement (près de 100 000), il y a plus de 70 000 précaires BIATS, ITA, chercheurs et chargés de cours qui assurent le fonctionnement quotidien de l’enseignement supérieur et de la recherche.  La chute des recrutements qui touche aussi bien les chercheurs que les techniciens pourrait s'accélérer les prochaines années.

Vous pourrez lire le diaporama préparé pour la réunion du comité national faisant un bilan de l'emploi scientifique : 

Financement de la recherche et Emploi scientifique : analyses chiffrées

Analyses et Propositions sur l'emploi scientifique par le Comité National de la Recherche Scientifique

L’initiative « Sciences en marche » fait partie des mobilisations qui expriment les revendications de la communauté universitaire et scientifique : organiser une marche (ou une randonnée cycliste ou kayak ou ...) de nos villes universitaires vers Paris doit nous rendre visibles dans les médias et dans l’opinion publique.

Trois mesures sont nécessaires pour inverser la tendance :
1) mettre en œuvre un plan pluriannuel ambitieux pour l’emploi statutaire à tous les niveaux de l’ESR,
2) renforcer les crédits de base des laboratoires et des universités,
3) Reconnaitre le doctorat dans les conventions collectives. Faciliter l’emploi des docteurs, et la diffusion de la culture scientifique, dans les entreprises et la haute fonction publique.

Mais aussi, déclaration intersyndicale :
Dans l'enseignement supérieur, la bataille pour l'emploi est déclenchée.

pour le comité local Sciences en Marche
Anne Joulain
 

 

Les agents territoriaux CGT du Grand Poitiers n'acceptent pas qu'on veuille déshabiller Pierre pour habiller Paul

le 07 October 2014

Les agents territoriaux CGT du Grand Poitiers n'acceptent pas qu'on veuille déshabiller Pierre pour habiller Paul

Sur la photographie: Patrice Ferrant, secrétaire à la vie syndicale, Nicolas Bimont, commission exécutive, 

  Patrick Amand, secrétaire,  Vincent Bohan commission exécutive   
 

  

 

            N’est ce pas justifié et mérité sur le plan humain que ce que réclame les agents territoriaux du Grand Poitiers dans les négociations actuelles ?  Le travail du dimanche doit rester exceptionnel,  ne pas être généralisé à tous,  être indemnisé  correctement, c'est-à-dire payé double  et ne pas être un prétexte pour tirer tout le monde vers le bas  afin de pallier  les suppressions de poste…

Rappelons que des personnels du Grand Poitiers ( piscines par exemple ) étaient majorés glorieusement de  0,74 centimes d’euros par heure pour travailler le dimanche ! mais pour l’employeur  la   négociation est un prétexte pour tenter d’imposer « une généralisation et une banalisation du travail du dimanche » des territoriaux  et la casse des avantages gagnés  au fil des ans ( par exemple  un « dé-tricotage » des RTT)   comme le dénonce Patrick Amand  secrétaire général de la CGT  des territoriaux du Grand Poitiers.

Ça ne va pas chez les territoriaux en proie au mal vivre, au  raz le bol, aux  dépressions, à des  maladies comme les ulcères. Ça fait mal de ne pas pouvoir bien faire son boulot alors que l’on a une conception du service public au service de tous !

Et tout cela est la  conséquence de tout un ensemble où les fonctionnaires servent de variables d’ajustement au budget en particulier par le biais des suppressions de postes et de redéploiement (par exemple  8 postes de contacts avec le public et de sécurité comme les gardes urbains de la Roseraie sont  supprimés et  les piscines  devront réguler les entrées faute de personnel ) .      

Le 10 octobre, une nouvelle assemblée générale  fera le point des négociations avec les syndiqués , le 16 octobre  la CGT s’associera à la journée interprofessionnelle liée à l’examen de la loi de financement de la Sécurité sociale  et le 17 octobre participera au  Comité Technique Paritaire.     

 

                                                         Françoise Poteau
 

 

 

SNCM. Cap sur l’emploi dans une course contre la montre

le 06 October 2014

SNCM. Cap sur l’emploi dans une course contre la montre

Trésorerie laissée dans le rouge et délit d’entrave contre la direction de la compagnie. Les actionnaires veulent accélérer la cadence vers le dépôt de bilan.

Les réunions autour de l’avenir de la Société Nationale Corse Méditerranée se poursuivent en Préfecture. Demain seront à nouveau réunis les représentants des actionnaires, la direction de la compagnie maritime et ses organisations syndicales. Olivier Diehl, Président du directoire mis en place par Transdev, doit y préciser les lignes directrices du projet « nouvelle SNCM ».

Le projet d’avenir pour la SNCM a déjà été dessiné par Transdev et le gouvernement. Contre l’insistance des syndicats -à l’exception de STC- et des nombreux soutiens politiques locaux ainsi que du tissu industriel du GPMM, à défendre une solution de développement de la compagnie avec de nouveaux bateaux plus écologiques et moins gourmands en carburants construits avec le savoir-faire des chantiers navals de Saint-Nazaire, ces actionnaires ont choisi la solution de discontinuité. C’est-à-dire qu’il leur faut organiser la faillite de la société, l’envoyer devant le tribunal de commerce et en créer une nouvelle avec périmètre d’exploitation, nombre de bateaux et équipages largement sabrés.

Pas de tribunal avant le 31

A la barre du navire SNCM, Olivier Diehl mise donc sur la « protection » du tribunal, seule solution « réaliste » au regard de l’épée de Damoclès du contentieux européens. C’est donc sur le projet d’une « nouvelle SNCM » que les actionnaires veulent avancer. Et ils sont pressés d’en découdre avec l’actuelle société, et à n’en pas douter avec ses syndicats CGT CFE-CGC qui font front commun. Il est vrai que les syndicats marins n’ont de cesse de défendre, soutenus par les sénateurs communistes, l’adoption d’un décret de loi visant à imposer le pavillon français de premier registre à toute compagnie opérant au cabotage national. Ce règlement n’interdit pas le recours à des marins étrangers mais il oblige l’employeur à rémunérer et à protéger ses salariés en conformité avec le droit français du travail dès lors qu’il bat pavillon sur le territoire national. De quoi contrarier le raz-de-marée du low-cost alimenté par l’ultra libéralisme européen.

Dans cette nouvelle étape vers l’hécatombe économique, la direction a déjà coupé franc dans son périmètre, en supprimant le navire Méditerranée dans l’obligation de service public sur la Corse au départ de Toulon. Cette réduction de voilure qui doit prendre effet dès le 13 octobre a été annoncée en comité d’entreprise le 3 octobre, les syndicats ayant refusé la suppression totale de la ligne.

Sur le port de Marseille, cette réduction de voilure inquiète de plus en plus sérieusement les entreprises sous-traitante de la SNCM. A commencer par Maritima, fournisseur de la SNCM en carburant, qui perd le volume de marché d’un bateau.

Par ailleurs, à l’initiative de la CGT Marins, une procédure de délit d’entrave a été votée à l’encontre de la direction. Les représentants des salariés estiment que la procédure d’information n’a pas été respectée. Un protocole de sortie de grève interdit tout recours au tribunal d’ici le 31 octobre. Sentant le vent de plus en plus mauvais venir et la trésorerie toujours mal assurée, on peut comprendre pourquoi ça presse.

Myriam Guillaume (La Marseillaise, le 6 octobre 2014)

20141006-CP-Oise-La Chambre des comptes note sévèrement les bus de Beauvais

le 06 October 2014

20141006-CP-Oise-La Chambre des comptes note sévèrement les bus de Beauvais

Pour la défense des équipements publics à Corbeil-Essonnes

le 03 October 2014

Pour la défense des équipements publics à Corbeil-Essonnes

LGV Poitiers-Limoges : M. Hollande, il faut arrêter de mentir aux citoyens

le 03 October 2014

LGV Poitiers-Limoges : M. Hollande,  il faut arrêter de mentir aux citoyens

Communiqué de presse du PCF 86

Le 3 octobre 2014

Le Président de la République vient d’annoncer que le projet LGV Poitiers-Limoges est relancé et que l’État est prêt à apporter son concours financier.
Faire cette annonce au moment où votre politique d’austérité va asphyxier les collectivités locales, alors que les préfets de Région vont négocier des nouveaux Contrat de plan État/Régions pour la période 2015-2020 en baisse de 30%. C’est de la provocation et de l’enfumage.
M Hollande des millions de français vous ont élu en 2012 avec l’espoir du changement et chaque jour vous les décevez un peu plus en emboîtant les pas de votre prédécesseur. En effet, ce projet de LGV est la conséquence d’une décision prise en décembre 2003 par M Raffarin, premier ministre enterrant la politique d’aménagement du territoire, supprimant la DATAR et instaurant un nouveau concept cher aux adeptes du libéralisme, celui de la de compétitivité des territoires , c’est-à-dire la mise en concurrence des citoyens, des salariés et des territoires.
Des dizaines de millions ont été dépensé dans des études pour ce projet, ils auraient pu l’être dans la poursuite de la rénovation et de la modernisation de la ligne actuelle Poitiers-Limoges, dans la modernisation et la desserte de la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse, répondant ainsi aux besoins de mobilité des habitants concernés.
Les infrastructures ferroviaires sont à bout de souffle faute de moyens financiers et humains, il manque 1,5 milliard d’euros par an pour assurer correctement la maintenance et le renouvellement du réseau, c’est l’équivalent annuel des intérêts de la dette versés par RFF aux rapaces de la finance.
Des solutions existent pour financer le réseau ferroviaire, en prélevant, dans un premier temps un peu plus sur les profits des sociétés d’autoroute qui, comme le récent rapport de l’Autorité de la concurrence le montre, rémunèrent grassement leurs actionnaires, et dans un second temps en les re-nationalisant. Il pourrait également être créé, sur le modèle du livret A, une épargne populaire dédiée aux infrastructures qui contribuent  aux modes de transports les moins émetteurs de gaz à effet de serre.
C’est un enjeu majeur pour l’aménagement durable du territoire et l’avenir de notre planète.

20141003-CP-Beauvais-La ligne Paris-Beauvais n'est toujours pas sortie du conflit

le 03 October 2014

20141003-CP-Beauvais-La ligne Paris-Beauvais n'est toujours pas sortie du conflit

20141003-LeP-Beauvais-Les horaires changent à la préfecture

le 03 October 2014

20141003-LeP-Beauvais-Les horaires changent à la préfecture

Pays d'Aubagne. La bataille du rail se poursuit

le 02 October 2014

Pays d'Aubagne. La bataille du rail se poursuit

Conseil communautaire un peu tendu mardi soir à Cadolive entre opposition et majorité. Un conseil qui s’est terminé en queue de poisson.

Le dernier Conseil communautaire a été encore l’occasion pour la majorité UMP-UDI, notamment sa Présidente, de donner lecture « en exclusivité » de « l’audit financier rétro-prospectif » de l’Agglo. Comme d’habitude, seuls quelques « privilégiés » avaient pu consulter ce rapport avant, les autres l’ont découvert le soir-même.

Un audit qui ne dit rien de particulier sur la situation financière de la collectivité territoriale sinon qu’il y a eu « ces dernières années trop de dépenses et peu de recettes ». Un prétexte visant à cacher la volonté de cette majorité d’abandonner tous les projets structurants du territoire pour laisser la Métropole s’installer.

Sur les 49 délibérations réellement inscrites à l’ordre du jour, c’est encore un sujet lié au rail qui a fait débat : le Val’Tram, sur la voie de Valdonne,  un projet censé remplacer celui initié par l’ancienne majorité, le Tram-Train. Pour le rapporteur de la délibération, Pierre Coulomb (tout enflammé), il s’agit de modifier le projet initial « en modifiant le matériel roulant ». Un véritable projet communautaire, estime Serge Perotino, le Maire de Cadolive, qui constitue, selon, lui, « la colonne vertébrale du territoire ».

Si tout le monde s’accorde pour dire que la voie de Valdonne présente, effectivement, une priorité dans l’aménagement du territoire, tous ne partagent pas cet enthousiasme débordant quant à la pertinence du projet Val’Tram.

André Jullien, le Maire de La Bouilladisse qui, tout en assurant qu’il voterait la délibération, a rappelé que l’intérêt pour la voie de Valdonne ne datait pas d’aujourd’hui. Il a regretté, par ailleurs, le changement de la nature du projet. «  Pour autant, en l’état actuel de ce nouveau projet, je ne crois pas que les habitants de nos communes acceptent que nos tergiversations soient à l’origine de nouveaux retards », ajoute-t-il.

Changement de perspectives

« Je suis un peu en décalage avec l’idée qu’à travers nos interventions, il y aurait tergiversations », rétorque Magali Giovannangeli du Groupe "A gauche pour un territoire solidaire". « La case tergiversations, commence à partir du moment où on change la nature du projet », indique-t-elle. Même constat pour Denis Grandjean, qui estime que cette délibération « est grave dans les conséquences qu’elle va avoir », car non seulement on change de projet mais également de perspectives.

Daniel Fontaine a pointé, lui, les projections du tracé du nouveau Val’Tram  qui sera obligé de passer, à partir de la gare, dans le quartier des Défensions en empruntant 3 des 4 voies du quartier et « en cisaillant l’ensemble des routes permettant aujourd’hui de circuler dans Aubagne ».

On a entendu également des voix dissonante au sein de la majorité UMP-UDFI. « Pour nous, c’est compliqué de voter cette délibération. Nous avons été élus pour réfléchir sur des projets structurants », assène Mohammed Salem, UMP qui avec 4 autres élus de la majorité se sont abstenus.

Mustapha Chtioui (La Marseillaise, le 2 octobre 2014)

Un projet initié en 2006

L’intérêt pour la voie de Valdonne ne datait pas d’aujourd’hui. « Ce projet a été initié en 2006 par GHB dans le cadre du PDU pour permettre une liaison entre le territoire d’Aubagne et celui du Pays de l’Etoile et du Merlançon… », expliquait André Jullien. Des intercommunalités qui se sont rapprochées ensuite pour former la CAPAE en 2007. « Dès 2008, sous ma délégation, un atelier citoyen a été constitué afin d’étudier ce projet de transport en commun en site propre qui soit plus près des remarques et des besoins de nos administrés. Plus d’une centaine de personnes se sont inscrites dans cet atelier qui se réunissait, au rythme soutenu, d’une séance par mois jusqu’en 2012 », poursuit-il. En 2008, on parlait d’un tram. Et puis les travaux de l’atelier ont conclu au choix du tram-train. En 2011, dans le cadre de la concertation préalable, « le projet recevait une très grande adhésion de l’ensemble de la population du territoire y compris celle de la ville d’Aubagne ». En 2014, c’est un projet à l’échelle du territoire qui se met en place « mais aussi un projet de dimension métropolitaine puisque l’atelier citoyen avait également imaginé son prolongement au-delà de La Bouilladisse en direction d’Aix-en-Provence et, au-delà d’Aubagne, vers Marseille... On a des projets d’aménagement, je pense au lycée dans le quartier de la Chapelle. S’il n y a pas de voie de Valdonne, il n y aura pas donc de lycée ».

La Marseillaise, le 2 octobre 2014

7 octobre, Creil - Comité de défense de l'hôpital-Rassemblement « Sauvons la sécu »

le 02 October 2014

7 octobre, Creil - Comité de défense de l'hôpital-Rassemblement « Sauvons la sécu »

Le comité de défense et de promotion de la santé et des hôpitaux de Creil et de Senlis vous invite à participer à leur troisième initiative, au rythme hebdomadaire,

 

Rassemblement « Sauvons la sécu »

mardi 7 octobre 2014 à 11 h

devant la caisse de de Sécurité sociale (CPAM) de Creil

 

Comité de défense et de promotion de la santé et des hôpitaux de Creil et de Senlis

La sécu, Notre sécu a été créée par les résistants au nazisme.

Notre Sécu a été mise en place par les travailleurs à la Libération, sous la direction de l'un d'entre eux, Ambroise Croizat, ministre du Travail de 1945 à 1947.

À l'origine, elle fut gérée par les représentants des travailleurs eux-mêmes. Ce n'était pas une bureaucratie étrangère à notre peuple. C'était notre Sécu, ce n'était pas un impôt de plus, c'était le fruit de notre travail. Pour les patrons c'était le prix qu'il fallait payer pour notre santé.

Et puis les patrons ont imposé la cogestion, c’est-à-dire la gestion « partagée » avec les travailleurs ! Sous prétexte qu'il l'a payait. Mais qui produit les richesses !

Ainsi la dénaturation de notre protection sociale brise notre système de soins.

D'une Sécu qui a haussé notre organisation sanitaire au premier rang dans le monde, les patrons et de nombreux gouvernements,en ont fait une administration suspicieuse, tatillonne, dont le budget est voté par l'Assemblée nationale. Et comme il est insuffisant, dette oblige, on concède pan par pan notre appareil de soins au secteur privé lucratif et les remboursements aux assurances privées dont les cotisations, source de fabuleux bénéfices, viennent s'ajouter aux cotisations prélevées sur nos salaires.

C'est toute notre protection sociale qui se rétrécit de jours en jours, creusant les inégalités d'accès aux soins et menaçant la santé de tous, mettant à mal nos hôpitaux...

 

Nous allons désormais harceler nos gouvernements jusqu'à ce qu’ils nous rendent notre bien :

  • gestion démocratique.
  • remboursement à 100 % de tous les soins

Nous tiendrons jusqu'à ce qu'il en soit ainsi.

 

Les dividendes, puisés sur notre travail, ne cessent d'augmenter pendant que les forfaits et franchises augmentent et les remboursements diminuent !